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Mourir c'est se réveiller
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Mourir c'est se réveiller
Livre électronique191 pages2 heures

Mourir c'est se réveiller

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À propos de ce livre électronique

Mourir, c'est se réveiller — Le grand malentendu

Ce livre n'est pas né d'une idée mais d'une expérience intérieure. À travers des témoignages, des réflexions et des éclairages spirituels, Lamarck Katusi invite à regarder la « mort » non comme une fin mais comme un réveil de l'âme. Page après page, l'ouvrage dissipe la peur, éclaire le passage et propose une vision apaisante : la vie continue, sous une autre forme. Un guide pour qui cherche du réconfort après une perte, pour qui interroge le sens de l'existence, ou pour qui souhaite méditer sur la continuité de la conscience.

Un livre à lire lentement, comme une prière, pour découvrir que mourir n'est pas perdre mais revenir à la lumière.

 

LangueFrançais
ÉditeurLamarck Katusi
Date de sortie9 oct. 2025
ISBN9798232086893
Mourir c'est se réveiller
Auteur

Lamarck Katusi

Lamarck Katusi est un auteur congolais passionné par les histoires humaines et les émotions qui façonnent nos vies. Né à Kamina, il puise son inspiration dans les valeurs familiales et la profondeur des relations humaines. À travers ses écrits, il cherche à toucher le cœur de chacun et à partager des récits qui éveillent l'empathie et la réflexion. 'Oh ma mère' est son hommage personnel à toutes les femmes qui portent le sacrifice et l'amour maternel dans le silence.

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    Aperçu du livre

    Mourir c'est se réveiller - Lamarck Katusi

    ​Sommaire

    Sommaire ..........................................................................1

    Avant propos ......................................................................2

    Introduction ........................................................................3

    Chapitre 1 le grand malentendu ...............................................4

    Chapitre  2 le sommeil de l’âme .............. ...............................21

    Chapitre 3 le réveil de l’âme ..................................................36

    Chapitre 4 les rencontres de l’âme ..........................................49

    Chapitre 5 les enseignants de l’au delà ....................................63

    Chapitre 6 les expériences de port-mortem................................76

    Chapitre 7 les messages des défunts .......................................89

    Chapitre 8 les leçons de l’au delà ...,................................................101

    Chapitre 9 les signes du passage ............................................112

    Chapitre 10 les expériences de l’au delà....................................125

    Conclusions ........................................................................137

    Question/réponse ................................................................138

    Remerciements ...................................................................165

    Vie de l’auteur .....................................................................166

    ​Avant-propos

    ​Ce livre n’est pas né d’une idée, mais d’une expérience intérieure. Un jour, la vie m’a conduit dans un silence si profond que j’ai cru tout perdre. Mais c’est là, au cœur de ce vide, que j’ai entendu la voix de l’invisible me murmurer :  > La mort n’existe pas. Tu ne fais que te réveiller.

    ​Ces mots ont bouleversé ma perception du monde. J’ai compris que la peur de la mort n’est autre que la peur de vivre sans conscience. Nous ne craignons pas la fin, nous craignons d’avoir traversé la vie sans y avoir trouvé de sens. Mourir, c’est se réveiller est donc un voyage — pas à travers la mort, mais à travers la vérité cachée derrière la vie. Page après page, j’ai cherché à éclairer ce passage que l’on redoute tous, pour montrer qu’il n’est pas une perte, mais un retour.

    ​Un retour à soi, un retour à la lumière, un retour à ce que nous avons toujours été. Ce livre ne cherche pas à convaincre, mais à réveiller.Il parle à ton âme, pas à ton esprit. Et si, en le lisant, tu ressens une paix intérieure, même brève, alors il aura accompli son rôle. Je t’invite à le lire lentement, comme une prière, comme un souffle. Car ici, chaque mot est une main tendue vers l’autre côté du voile. > Ne cherche pas la vie après la mort.Découvre plutôt la vie dans la mort, et tu comprendras que tout est éternel.

    ​— Lamarck Katusi

    ​Introduction

    ​La mort fait peur.

    ​Nous avons appris à la craindre, à la fuir, à l’ignorer. On nous a dit qu’elle est la fin, le silence, l’oubli. Et si tout cela était faux ? Et si la mort n’était pas une fin, mais un réveil ? Ce livre est né de cette question. Il est né de l’urgence de comprendre ce que personne ne nous apprend vraiment : la vie continue, sous une autre forme, au-delà de ce que nos yeux peuvent voir. Chaque page que tu t’apprêtes à lire est une invitation. Une invitation à regarder la mort en face, non pas avec peur, mais avec curiosité. Une invitation à découvrir la lumière qui existe derrière le voile, celle qui éclaire même les ténèbres les plus profondes.

    ​Ici, je ne propose pas des théories abstraites. Je partage des expériences, des réflexions et des vérités que j’ai vécues, des éveils qui ont transformé ma peur en paix, ma douleur en compréhension, et ma vie en un chemin vers la lumière. Prépare-toi à remettre en question tout ce que tu croyais savoir. À sentir, à réfléchir, à ouvrir ton cœur. Car mourir n’est pas perdre, c’est se réveiller. > La vie est un souffle, et la mort n’est que le moment où ce souffle se déploie autrement.

    ​Chapitre 1

    ​Le grand malentendu

    ​1 – La peur du dernier souffle

    ​Depuis toujours, l’être humain redoute la mort. Ce mot seul fait trembler. Il évoque la fin, le vide, l’inconnu. Pourtant, cette peur n’est pas née de la mort elle-même, mais de notre ignorance. Nous avons appris à craindre ce que nous ne comprenons pas.

    ​L’enfant n’a pas peur de s’endormir, car il sait qu’il se réveillera au matin. Mais l’adulte, lui, regarde la mort comme une nuit sans fin. Il ne sait pas que ce sommeil-là n’est qu’un passage, une pause entre deux formes de vie.La mort n’est pas le contraire de la vie. Elle est une partie de la vie, un mouvement naturel, une respiration cosmique. Tout ce qui vit se transforme, rien ne disparaît vraiment.

    ​Les fleurs se fanent, mais la terre garde leur parfum. Les corps s’éteignent, mais la lumière en eux continue son voyage. Ce grand malentendu — croire que la mort est la fin — est ce qui emprisonne notre esprit dans la peur. Mais dès que l’on comprend que mourir, c’est seulement se réveiller ailleurs,alors la peur s’efface, et la paix prend sa place.

    ​2 – Ce que nous appelons la fin

    ​La mort. Ce mot, prononcé à voix basse, glace souvent le cœur. Certains détournent le regard, d’autres font semblant d’ignorer qu’elle existe. Pourtant, la mort ne cache rien de cruel. C’est notre manière de la regarder qui la rend si terrifiante. Nous avons appris, depuis l’enfance, que la mort est une perte. On nous dit qu’elle arrache, qu’elle brise, qu’elle met un point final. Mais si la vérité était tout autre ? Et si, derrière ce mot lourd et triste, se cachait le plus beau des commencements ?  Ce que nous appelons fin n’est qu’une illusion du regard. Nous voyons un corps qui s’éteint, mais nous oublions que la vie ne réside pas seulement dans le corps. Le corps est une maison, et l’âme, son habitant.

    ​Lorsque la  maison s’effondre, l’habitant s’en va — non pas dans le néant, mais dans une autre demeure, plus vaste, plus lumineuse, plus libre. Chaque être humain, au fond de lui, pressent cette vérité. Il y a dans le cœur une voix silencieuse qui murmure : Tu n’es pas fait pour disparaître. Cette voix est la mémoire de l’éternité. Elle se manifeste dans nos rêves, dans nos intuitions, dans ce sentiment étrange de déjà-vu qui nous relie à quelque chose de plus grand que cette vie. Quand nous disons adieu à quelqu’un, nous croyons le perdre. Mais la mort ne sépare pas — elle déplace seulement.

    ​Comme le soleil qui disparaît derrière l’horizon, l’être aimé ne s’éteint pas : il se lève ailleurs, dans un autre ciel, invisible à nos yeux mais bien réel pour son âme.  Ce que nous appelons la fin est en réalité une naissance inversée. Nous ne mourons pas : nous revenons à la lumière,comme le fleuve retourne à la mer dont il est issu.

    ​3 – Les deux visages de la mort

    ​La mort a deux visages.Le premier, c’est celui que l’homme voit : froid, silencieux, sans retour. C’est la mort du corps, celle que les yeux peuvent constater. Le second visage, plus discret, ne se révèle qu’à ceux qui regardent avec l’âme. C’est la mort comme passage, comme éveil, comme renaissance invisible. Quand nous assistons à la disparition d’un être cher, nous voyons son corps s’immobiliser, et tout en nous s’effondre.  Nous pleurons, car nous croyons qu’il n’est plus. Mais si nous pouvions entendre ce que son âme murmure à ce moment-là,

    ​elle nous dirait doucement : Ne pleure pas, je me réveille simplement ailleurs. La mort du corps n’est qu’une mue, comme celle du serpent qui quitte sa vieille peau. L’âme ne meurt pas ; elle change de vêtement, elle quitte la matière pour la lumière. Ce que nous appelons fin de vie est en vérité début de conscience. C’est le moment où l’être se souvient enfin de ce qu’il a toujours été : une lumière éternelle, voyageuse, libre. Mais voilà le malentendu : nous nous identifions trop au corps. Nous disons je suis mon visage, je suis mon nom, je suis ma voix.

    ​Alors, quand le corps se tait, nous croyons que tout se tait avec lui. Pourtant, la véritable essence de l’être — ce feu intérieur, cette présence silencieuse — ne s’éteint jamais. Elle est la même avant, pendant et après la mort.

    ​Ceux qui ont frôlé la mort racontent souvent la même chose : une paix immense, une lumière douce, un sentiment d’amour sans limite. Aucun mot humain ne peut vraiment décrire cela, car ce n’est pas une expérience du corps, mais de l’âme éveillée. Et c’est à cet instant que tout devient clair : la mort n’est pas contre la vie, elle est un visage secret de la vie. L’un est visible, l’autre invisible. L’un se vit sur terre, l’autre au-delà. Mais les deux ne sont qu’un même souffle qui circule,un même courant divin qui ne s’interrompt jamais.

    ​4 – Quand la peur devient un voile

    ​La peur de la mort est la plus ancienne des peurs humaines. Elle s’est transmise de génération en génération, comme une ombre portée sur la conscience. Elle nous suit dès l’enfance, cachée derrière chaque douleur, chaque séparation, chaque adieu. Et pourtant, cette peur ne vient pas de la mort elle-même — elle vient de l’oubli.

    ​L’être humain a oublié qui il est réellement. Il s’est identifié à sa chair, à son nom, à son histoire.Il a cru que tout ce qu’il est se limite à ce qu’il voit dans le miroir. Alors quand le miroir se brise, il panique, croyant que c’est lui qui disparaît. Mais ce qu’il oublie, c’est que lui-même n’a jamais été le miroir, mais la lumière qui s’y reflétait.

    ​La peur agit comme un voile entre le monde visible et le monde invisible. Elle empêche de sentir la continuité de la vie, de percevoir la présence de ceux qui sont partis. Ce voile n’est pas réel : il est fait de pensées, de conditionnements, de croyances héritées. Il suffit de l’écarter doucement, non pas par la force, mais par la compréhension. Lorsque la peur se dissipe, tout change. Les funérailles cessent d’être un adieu, pour devenir une transition. Les larmes se mêlent à la gratitude, et le silence prend un autre goût — celui de la paix. On réalise que la mort n’est pas une ennemie, mais une messagère, venue rappeler à chacun la valeur de la vie.

    ​La peur ne disparaît pas du jour au lendemain. Mais chaque fois que nous pensons à la mort avec plus d’amour que de crainte,le voile s’amincit, la lumière passe, et la paix s’installe. C’est le début du vrai réveil : celui qui nous apprend à voir au-delà de la forme, là où la vie danse sans interruption.La mort n’est donc pas à craindre, mais à comprendre. Car comprendre la mort, c’est percer le secret de la vie. Et celui qui n’a plus peur de mourir... commence enfin à vivre.

    ​5 – Le silence de l’invisible

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