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Les 3 souffles: Dialogue sur l’Esprit Saint
Les 3 souffles: Dialogue sur l’Esprit Saint
Les 3 souffles: Dialogue sur l’Esprit Saint
Livre électronique376 pages3 heures

Les 3 souffles: Dialogue sur l’Esprit Saint

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À propos de ce livre électronique

Ce dialogue, mettant en scène Louis le philosophe et Michel le Jésuite, explore les dimensions fondamentales de l’Esprit Saint en dévoilant ce que ses définitions originelles – latines, grecques et hébraïques – laissent transparaître de son mystère. Réfléchissant aux trois principaux aspects de l’Esprit, que sont le souffle du vent, le souffle du corps et le souffle de vie, nos deux amis se fraient un chemin dans l’inexploré.
Cette méditation dialogique, aussi enjouée que philosophique et spirituelle, s’appuyant sur les définitions traditionnelles de l’Esprit, ses symboles majeurs et l’Écriture, développe une métaphysique originale qui envisage le Saint-Esprit sous un jour nouveau, faisant jaillir « la nouveauté jamais vieillie de l’Esprit », comme l’écrivit Origène.
Ce dialogue sur l’Esprit Saint, premier du genre en philosophie, redécouvre, notamment, la dimension maternelle de l’Esprit ; rénove l’approche du rapport entre la chair et l’Esprit ; ressaisit certaines notions capitales pour penser ses aspects les plus impensés.
Ce texte, fruit d’une longue méditation où s’unissent les cheminements spirituel et intellectuel de l’auteur, s’adresse à tous ceux qui sont intéressés ou interpellés par le Saint-Esprit.

À PROPOS DE L'AUTEUR

William Néria Docteur en philosophie de Sorbonne Université, Ph.D. de l’Université Laval, écrivain et conférencier, est l’auteur de nombreux articles et de quatre livres dont, notamment, "Le dépassement de la raison et l’expérience de l’Absolu. Plotin, Shankara, Spinoza" (Les Deux Océans, 2014) préfacé par le professeur François Chenet ; "Le mythe de la caverne. Platon face à Heidegger" (Cerf, 2019) préfacé par le professeur Thomas de Koninck ; "Conversation avec Thérèse de Lisieux" (Nouvelle Cité, 2023) préfacé par William Clapier (théologien spécialiste de Thérèse) et traduit en espagnol (Editorial Monte Carmelo), slovène (Druzina) et hongrois (Sarutlan Karmelita Noverek).
LangueFrançais
ÉditeurSaint-Léger Editions
Date de sortie3 juil. 2025
ISBN9782385224783
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    Aperçu du livre

    Les 3 souffles - William Néria

    Page de titre

    William Néria

    Les 3 souffles

    Dialogue sur l’Esprit Saint

    Préface de Pascal Ide

    Table des matières

    Page de titre

    Préface

    Remerciements

    Avant-propos

    Dédicace

    L’Esprit Saint ?

    Révéler l’irrévélé

    L’Esprit et la Croix

    L’insuffisante définition

    Le philosophe et le Jésuite

    Noms et définitions

    Retour aux origines

    Le souffle du vent

    Nommer l’innommable

    Saint et Esprit

    Sainteté et unicité de Dieu

    L’empreinte du qodesh

    L’image, l’Inimage et le Sans-image

    Entre l’imagé et le non imagé

    Souffle d’air

    Insaisissable

    Médiat

    Incomposé

    Soufflant

    Souffle du vent

    La non imagéité

    Paraître, inapparaître et paraison

    Soustraction et vide

    Les touches asymétriques

    Manifestation du souffle : pneumophanie de Pentecôte

    Évènement et avènement

    L’insolite bruit

    Asonorité et sonorité

    De l’indit au dit

    Transparence et saisie

    La flamme indivise

    La danse du feu

    La motion amobile

    Qualifier l’inqualifiable

    Le genre féminin

    L’insouffle et le souffle

    La matrice non différente

    Le souffle corporel

    Colombe

    Le Baptême du Christ

    L’apparence corporelle

    Diaphane et spirante

    Expiration

    Au-dessus du ciel

    Ex-spiration et exclosion

    L’étreinte de la chair

    Les locus

    Inspiration

    In-spiration et dé-spiration

    Désopacifier

    Les fruits de l’arbre

    Le là et l’enclosion

    Respiration

    L’inhabitation intérieure

    Médiance et sacrum

    La Tri-unité

    Colonne sacrée et portes

    De la Cathèdre au Trône

    Respiration et mouvements

    De l’Arche à la Lumière

    L’échelle de Jacob

    Lien et effusion

    Le souffle de vie

    Principe de vie

    La Sainte-Baume

    L’eau vive et le puits

    Vivants et non-vivants

    Vie

    La vie vivifiante

    Souffle de vie

    L’eau féconde

    Âme

    Le ruissellement de vie

    Le qui inconnu

    La subjectivité asubjective

    Animation et connaissance

    L’âme de la vie

    Bibliographie

    Du même auteur

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    Points de repère

    Couverture

    Préface

    Pendant longtemps, l’on a répété que l’Esprit Saint était le grand inconnu. Les chrétiens, théologiens ou non, n’ignoraient pas son action et ne lui interdisaient donc pas toute fécondité, mais ils attribuaient très souvent au Christ ce qui relevait de son Esprit¹. Il n’est plus possible aujourd’hui d’affirmer que celui-ci est ignoré. Deux signes parmi beaucoup en font foi. Le premier est plus théorique : les centaines de livres et d’articles, d’études spéculatives et de vulgarisations, qui lui sont consacrés depuis un demi-siècle. Le second est pratique, plus, existentiel : l’importance que le Renouveau dans l’Esprit, chez les catholiques et les protestants, lui accorde. Pour autant, la troisième Personne divine est-elle mieux connue ? Je n’en suis pas du tout certain. Là encore, en théorie et en pratique. Le témoignage des fidèles de ma paroisse est éloquent : « Je dois vous dire, Père. Malgré tout ce que vous nous dites en homélie de l’Esprit Saint, de son action en nous et dans le monde, je trouve que c’est toujours compliqué de comprendre. Qui est-il donc ? » Et, puisque, selon l’axiome scolastique, « l’agir suit la connaissance », comment inviter l’Esprit dans ma vie (pourtant qualifiée de) spirituelle sans le connaître ?

    Le livre de William Néria peut véritablement contribuer à ce pneumatic turn, tellement désiré par le dernier Concile. Dès la première phrase du document le plus important, la Constitution dogmatique Lumen gentium sur l’Église, après le premier mot qu’est « le Christ », l’on trouve l’expression « Esprit Saint »². Toutefois, comme cet Esprit insaisissable, ce « Souffle qui souffle où il veut » (Jn 3,8), ainsi que Jésus le révèle à Nicodème, l’ouvrage pourra dérouter – ce qui ne veut surtout pas dire « dévoyer » ! – plus d’un lecteur. Aussi souhaiterais-je offrir dans cette brève préface quelques clés de lecture qui se veulent autant d’invitations au voyage.

    Ce livre appartient au genre du dialogue. En regardant la table des matières ou en feuilletant l’ouvrage, le lecteur pourrait croire qu’il a une pièce de théâtre entre les mains, une pièce en trois actes et aux multiples scènes, d’autant que les prises de parole s’accompagnent souvent d’une diégèse et qu’une introduction plus ou moins longue aux parties et sous-parties prend soin d’indiquer les déplacements des acteurs et de décrire les lieux. En réalité, Les 3 souffles appartient à un genre philosophique et même théologique malheureusement oublié depuis quatre siècles et plus : le dialogue platonicien (dia-lectique renvoie d’abord à dia-logue), mais aussi aristotélicien (l’œuvre exotérique qui a été perdue) et la quæstio disputata médiévale (à laquelle il faut ajouter le proslogion doxologique face à Dieu) ont été remplacés par le monologue du philosophe « dans son poêle » (Descartes) et les manuels ou, plus encore, les monographies de théologien « assis » à leur table de travail (Balthasar). Ici s’applique la parole si profonde de Benoît XVI dans sa dernière (ou pénultième !) encyclique : « La vérité est, en effet, lógos qui effectue [efficit] un diá-logos et donc une communication et une communion³ ».

    La communi(cati)on du dialogue requiert des interlocuteurs. Le lecteur les découvrira. Mais il peut être utile de les présenter brièvement, et d’abord, les deux personnages principaux, Louis de Florac et Michel de Pelvoux. Beaucoup les distinguent, voire les polarisent : le philosophe et le théologien, le laïc et le Jésuite, le jeune et le « vieux », l’amoureux des abstractions philosophiques et l’ami des abstractions mathématiques ou physico-mathématiques (p. 41, 63, 70, 89, etc.), le cérébral et l’incarné, l’esprit de finesse et l’esprit de géométrie, etc. Mais la même quête les soulève et les élève. Surtout, sans surprise, ils représentent chacun une des facettes du riche parcours de William Néria et de ses affections : la philosophie et la théologie, ou plutôt, car l’amour véritable « terminat ad rem [s’accomplit dans le réel, hors de soi, par opposition à la connaissance qui demeure un acte mental et donc intérieur] » et, ultimement, « ad personam [s’incarne dans la personne même] » : Platon et le Christ. Au premier, il a consacré sa thèse⁴ et un certain nombre d’études⁵. Du second, il a écrit, mais à travers ses témoins privilégiés, passés⁶ et présents⁷, ainsi que nous allons le dire maintenant. En effet, il ne faudrait pas minimiser l’importance d’un troisième personnage qui sera introduit dans la dernière partie, l’ermite Myriam de la Grotte qui deviendra Myriam de la Baume (ce qui est presque synonyme). Elle ajoute, certes, une touche féminine (ce qui, lorsque l’on parle de la Ruah – nom hébreu de l’Esprit-Souffle –, s’avère obligé), mais plus encore une touche mystique bienvenue. Ce qui nous renvoie à l’intérêt de l’auteur pour les mystiques carmélitains à qui il a dédié livre⁸ et articles⁹.

    Pas de dialogue sans un thème, plus, un « objet » qui se trouve être un sujet, un Sujet divin. Bien entendu, il s’agit de l’Esprit Saint. Mais si, nous le disions, ce dernier demeure encore méconnu, c’est que l’on ne prend pas encore assez au sérieux deux données de la plus haute importance : le nom que lui donne les Saintes Écritures et, plus encore, le Christ ; les missions visibles par lesquelles il nous est donné et qui sont toutes empruntées au cosmos. Données que, tout au contraire, William Néria interroge au plus près et qui constituent le contenu central de son livre. En effet, il repart de l’étymologie des différents noms qui sont donnés à l’Esprit dans les deux langues de la Bible, l’hébreu et le grec, et dans la tradition latine ; or, tous, ils renvoient au vent ou au souffle – au point que, dans une trilogie fameuse, le père Yves Congar proposait qu’on parle désormais d’Esprit-Souffle. Et dans sa profuse polysémie qui est d’abord sa concrétisation, e(E)sprit se réfracte dans les trois « lieux » que sont la nature, l’homme et Dieu. Ils dictent les trois parties du livre (« le souffle du vent », « le souffle corporel » et « le souffle de vie » qui s’avère être, en dernière instance, la vie divine de la grâce) et son titre : Les 3 souffles. Nous sommes ainsi invités à quêter l’Esprit non pas d’abord dans notre intériorité, mais là où nous ne le cherchons pas assez : la nature et la nature humanisée qu’est notre corps.

    Il ne faut donc pas quérir ici un traité de pneumatologie, ni un affrontement des questions épineuses (comme la querelle du Filioque), ni un parcours des trois lieux de l’auditus fidei, les Saintes Écritures, la Tradition et les dogmes (même si ceux-ci sont mobilisés, mais pas trop tôt, afin de permettre à la voie heuristique de pleinement se déployer), ni une discussion des opinions théologiques comme les analogies traditionnelles (psychologique ou sociale), ni même une monographie systématique. Il s’agit beaucoup plus d’une aventure, donc d’une invitation au voyage. Géographique, car bien des lieux français, naturels et architecturaux, seront visités. Mais, plus encore, un voyage intellectuel. Un des titres proposés pour le livre était Métaphysique de l’Esprit Saint – ce qui aurait sans doute découragé plus d’un lecteur et ne traduit pas totalement l’objet. Mais l’auteur n’oublie pas qu’il est philosophe et met volontiers dans la bouche de Louis des propositions inédites et des réflexions bienvenues. Nous embarquons aussi pour un voyage culturel, puisque sera convoqué l’Orient, surtout indien, que William Néria fréquente avec intérêt et compétence depuis longtemps, pour lui-même¹⁰ et en dialogue avec la pensée occidentale¹¹.

    Nous sommes aussi invités à chercher l’Esprit Saint selon un style qui nous est inusuel. La forme épouse le fond. En effet, qui dit esprit dit souffle ou vent, c’est-à-dire non pas purement et simplement l’élément air, mais l’air en translation. De fait, dans le livre, les deux protagonistes bougent beaucoup – même s’ils s’arrêtent volontiers, pour contempler et… consommer. Le lecteur pourra être surpris du caractère bondissant de cette pensée constamment en mouvement. D’un côté, le signifié (les notions) renvoie à un signifiant (les mots) qui bénéficie d’une invention permanente : à l’instar de l’Esprit qui est Créativité, le lexique innove, les néologismes fleurissent sous la plume de William Néria presque à chaque page, la prose alterne avec la poésie en vers justement qualifiés de libres (du théorétique jaillit l’eucharistique, du contemplatif surgit le laudatif). Surtout, de l’autre, le signifié (le sens) renvoie à un référent, l’Esprit qui non seulement n’a rien de statique, mais est rythmique, ondulatoire, donc est un mouvement à la seconde puissance – et c’est là un des thèmes les plus réjouissants du livre.

    La liberté du ton et du contenu engage aussi à une liberté dans la lecture. Chaque lecteur aura son coin préféré où il ira glaner des idées suggestives. Pour ma part, j’ai particulièrement aimé les passages sur le vent-tourbillon, la topologie pneumatique qui joint l’ubiquité divine à des lieux privilégiés (comme l’éternité co-présente à l’intégralité du temps « nidifie » (p. 190) par la médiation d’évènements privilégiés, c’est-à-dire de kairoi), la rythmique ondulatoire (p. 206-209), l’Esprit qui s’immisce dans la tête du Christ (p. 164-165), l’anatomie sacrée, etc. Bien entendu, il y a un ordre et une progression. Mais les parties sont suffisamment autonomes pour que l’ouvrage s’accommode d’un parcours qui, pour être saltatoire, n’en sera pas moins jubilatoire.

    De même, le lecteur pourra ne pas être en accord avec telle interprétation, telle hypothèse ou tel rapprochement. C’est ainsi que je ne consonne pas avec l’herméneutique de la rencontre avec la Samaritaine (p. 229-231), celle de la vie des non-­vivants (p. 234), avec les mentions répétées de contact télépathique.

    Deux craintes naîtront chez certains lecteurs. Prévenons-les autant que possible. À trop chercher l’Esprit là où l’on ne pense pas le trouver, à savoir la nature, William Néria ne sombre-t-il pas dans le panthéisme ou l’immanentisme ? Si, assurément, il n’opine guère vers l’équivocisme, il maintient constamment l’analogie et conjure le risque d’univocisme, a fortiori de monisme¹². Le platonisme chrétien de l’auteur s’enrichit d’un néo-stoïcisme qu’étrangement, il ne nomme pas. À trop lorgner du côté de l’Orient, William Néria ne sombre-t-il pas dans le syncrétisme ? Nullement. Comme le scribe de l’Évangile qui « tire de son trésor du neuf et de l’ancien » (Mt 13,52), « vetera novis augere », il ne sacrifie jamais la vérité de la Parole. Il introduit du nouveau sans rien perdre de l’ancien. Ce faisant, il ouvre son livre à un lectorat plus large – que, j’espère, il trouvera.

    Émettons également le vœu que le lecteur embarquera pour ce voyage qui n’est pas une Odyssée, puisqu’il ne le reconduira assurément pas à son point de départ, mais est plus qu’un exode, puisqu’il l’emmènera vers l’Esprit-Souffle qui est plus intime à nous-mêmes que nous-mêmes, plus vivant que notre vie la plus pétillante, plus harmonieux que notre danse la plus libre, plus aimant que notre amour le plus ardent.

    Père Pascal Ide,

    docteur en médecine, philosophie et théologie,

    membre de la communauté de l’Emmanuel,

    il a enseigné sur l’Esprit Saint au

    Collège des Bernardins.


    1 Tel est par exemple le cas dans l’œuvre de trois penseurs français parmi les plus importants du siècle dernier : en théologie, Henri de Lubac ; en philosophie, Maurice Blondel ; en science, Pierre Teilhard de Chardin (cf. Pascal

    Ide

    , « La christologie de Teilhard : une pneumatologie qui s’ignore ? », Noosphère, Penser la fraternité aujourd’hui avec Teilhard. Une lecture renouvelée du Phénomène humain. Actes du colloque de l’Association des Amis de Pierre Teilhard de Chardin, Facultés Loyola, 15 et 16 mars 2024, Seconde partie, 29 [2025], à paraître).

    2 Dans la traduction française, l’on trouve 1029 occurrences du terme « Dieu », 949 du terme « Christ » et 286 du terme « Esprit ».

    3

    Benoît

    XVI, Lettre encyclique Caritas in veritate sur le développement humain intégral dans la charité et dans la vérité, 29 juin 2009, n. 4.

    4 William

    Néria

    , Le mythe de la caverne. Platon face à Heidegger, cf. chap.

    Du même auteur

    .

    5 Par exemple,

    Id.

    , « L’extase chez Platon » ;

    Id.

    , « Le mythe de la caverne, début de la métaphysique ? Les sources héraclitéenne et parménidienne » ;

    Id.

    , « Le mythe de la caverne : carte de l’être » ; cf.chap.

    Du même auteur

    .

    6 Par exemple,

    Id.

    , « La vérité chez Jean l’évangéliste : amnésie de l’histoire de l’oubli de l’être ? », cf.chap.

    Du même auteur

    .

    7 Comment ne pas noter la touche autobiographique : jusque dans l’identité du prénom, Michel le jésuite renvoie à Michel Corbin, abondamment cité dans la bibliographie, qui est, pour l’auteur, beaucoup plus qu’un professeur, « mon parrain en théologie », ainsi qu’il est présenté dans les « remerciements » (p. 16). Indépendamment des caractéristiques humaines (comme le personnage, Michel Corbin est un passionné de montagne) et des affinités intellectuelles (l’amour des Pères grecs et de certains docteurs médiévaux), l’on retrouvera aussi certains thèmes de la pensée « corbinienne » comme le comparatif – que l’on retrouve jusque dans le tout dernier paragraphe : Michel « a sûrement grimpé plus haut que trop haut » (p. 272).

    8 William

    Néria

    , Conversation avec Thérèse de Lisieux. À partir des écrits de sainte Thérèse, cf.chap.

    Du même auteur

    .

    9

    Id.

    , « Esquisse d’une philosophie de la personne chez Édith Stein, à partir de théologoumènes issus de l’œuvre de Saint Jean de la Croix » ;

    Id.

    , « Percer par-delà les mots et l’horizon des phénomènes par la poésie de saint Jean de la Croix » ; cf.chap.

    Du même auteur

    .

    10William

    Néria

    , Le chant de la Kundalini. Métaphysique ;

    Id.

    , « La trinité védantine chez Shankara : l’aspect dualiste et non-dualiste de la relation trinitaire » ; cf.chap.

    Du même auteur

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