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Notice sur Montlhéry
Notice sur Montlhéry
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Livre électronique54 pages33 minutes

Notice sur Montlhéry

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À propos de ce livre électronique

"Notice sur Montlhéry", de Jules Payen. Publié par Good Press. Good Press publie un large éventail d'ouvrages, où sont inclus tous les genres littéraires. Les choix éditoriaux des éditions Good Press ne se limitent pas aux grands classiques, à la fiction et à la non-fiction littéraire. Ils englobent également les trésors, oubliés ou à découvrir, de la littérature mondiale. Nous publions les livres qu'il faut avoir lu. Chaque ouvrage publié par Good Press a été édité et mis en forme avec soin, afin d'optimiser le confort de lecture, sur liseuse ou tablette. Notre mission est d'élaborer des e-books faciles à utiliser, accessibles au plus grand nombre, dans un format numérique de qualité supérieure.
LangueFrançais
ÉditeurGood Press
Date de sortie6 sept. 2021
ISBN4064066329839
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    Aperçu du livre

    Notice sur Montlhéry - Jules Payen

    Jules Payen

    Notice sur Montlhéry

    Publié par Good Press, 2022

    goodpress@okpublishing.info

    EAN 4064066329839

    Table des matières

    PRÉFACE

    AU LECTEUR

    CHAPITRE I

    CHAPITRE II

    CHAPITRE III

    CHAPITRE IV

    CHAPITRE V

    CHAPITRE VI

    CHAPITRE VII

    00003.jpg

    PRÉFACE

    Table des matières

    A MESSIEURS LES TOURISTES

    ET

    EXCURSIONNISTES

    En écrivant ce chapitre, je crois être utile aux voyageurs, aux archéologues, en un mot à ceux qui cultivent les sciences, comme à tous ceux qui aiment la villégiature.

    La petite ville de Montlhéry, située si agréablement, presque aux portes de Paris, mérite qu’on s’y arrête un instant.

    Pour le savant comme pour l’amateur, le séjour de Montlhéry est pour eux une source inépuisable de découvertes de toute nature.

    Dans cette paisible et charmante localité, chaque pierre, chaque coin, chaque rue, évoque le souvenir historique du passé.

    Au moyen âge, Montlhéry possédait comme édifices publics, l’Hôtel-Dieu et son auditoire, qui est actuellement la mairie reconstruite. Quelques résidences anciennes sont à signaler: le manoir de Montpipeau, qui était situé derrière l’église de la Sainte-Trinité, et qui appartenait avec la Motte aux seigneurs du Plessis-Pâté. A l’extrémité de la rue des Juifs se trouvait le fief des Créneaux, maison seigneuriale et dont les murs étaient crénelés. Dans la Grand’Rue, le fief de Guillerville; dans la rue Christophe de Saulx, dite actuellement rue Brûlée, le fief de Christophe de Saulx, et l’hôtel des Célestins de Marcoussis.

    Du côté de Linas, il y avait la maison de la Reine-Blanche.

    Sur la place du Marché, on voyait l’hôtel du Minage pour le mesurage et l’impôt pour les grains. Les boucheries se trouvaient dans la Grand’Rue.

    Au croisement des rues Souliers-Judas et du Four (actuellement des Deux-Anges), il existait une maison très haute où se balançait l’enseigne des Quatre-Vents.

    Rue Souliers-Judas, on voyait les enseignes de la Croix-de-Fer et de la Galère.

    Il y avait beaucoup d’hôtelleries et de cabarets dans la rue de La Chapelle, qui était à l’époque la continuation de la route de Paris à Orléans. On y voyait l’hôtel Saint-Nicolas, qui était appuyé à la geôle et à la rue du Château, aujourd’hui rue Gaucher-Laurée et de la Prud’hommerie, puis les maisons ou auberges du Dauphin, du Cygne, du Cheval Rouge, de l’Écu de France; du Chapeau Rouge, cette dernière existe encore.

    Le prévôt de Montlhéry, secondé par ses sergents, veillait à la sécurité publique. Il était défendu de causer et de se réunir à la porte de l’église, sous peine de 10 livres d’amende.

    Les hôtelleries ne pouvaient donner à boire et à manger les dimanches et fêtes qu’aux voyageurs, sous peine de 6 livres d’amende, et ne devaient recevoir ni mendiant ni vagabond, sous peine également de 6

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