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À l'école de la louange
À l'école de la louange
À l'école de la louange
Livre électronique256 pages2 heures

À l'école de la louange

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À propos de ce livre électronique

Celui qui dit « Merci Père ! » ou « Gloire à Jésus-Christ l’Agneau de Dieu ! » loue YAHWEH l’Éternel. Un cœur sincère dresse ainsi un trône de reconnaissance et de gloire au Seigneur. Dieu vient à lui sans conditions. Cependant, nul ne peut louer le Père si ce n’est par Christ-Jésus. De même, nul ne loue l’Agneau de Dieu si ce n’est le Père qui le lui inspire. À l’école de la louange, vous apprenez à entrer dans le lieu secret du cœur et à vous tenir face à face avec le Créateur des cieux et de la terre. Dès lors commencent les rendez-vous de larmes et d’abandon de soi dans les bras de Dieu, mais également de vibrantes célébrations de l’œuvre de la croix. C’est la culture du royaume des cieux. Par la pédagogie de la louange, Dieu fixe votre regard sur ses merveilles indépendamment des circonstances, parce qu’elle accroît le zèle dans le combat spirituel d’une part, et d’autre part, parce qu’elle soutient la foi, dans le désert comme dans l’épreuve. Ses ressorts changent les cris de détresse en chants d’allégresse. C’est l’occasion de le témoigner à l’instar des enfants d’Israël au sortir de l’Égypte et des disciples depuis l’avènement de Christ. À l’école de la louange quotidienne, vous érigez une tribune sur mesure à Dieu. Le Saint-Esprit peut alors librement se révéler, parler, agir puissamment et transformer des vies. Si vous pouvez évaluer ce que Dieu est capable de faire même avec un simple « Alléluia », vous allez sans cesse élever sa louange du lever du soleil jusqu’à la fin du jour, et même pendant les veilles de la nuit !
LangueFrançais
Date de sortie25 avr. 2013
ISBN9782312010069
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    Aperçu du livre

    À l'école de la louange - Jean Robert Mboungou

    cover.jpg

    À l’école de la louange

    Jean Robert Mboungou

    À l’école de la louange

    LES ÉDITIONS DU NET

    22 rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

    À Danielle, mon épouse bien-aimée dont l’expression de joie innée rend chaque jour à notre Seigneur d’excellentes actions de grâces.

    À Samuel et Lutinz qui sautent et dansent de joie comme bon leur semble au rythme de leurs cantiques préférés.

    À Yessé, pour sa confiance dans le Seigneur.

    À Destinée, pour son parcours serein.

    À Aïcha, Jean-Marie, Jeanne, Jeansard, Josy, Nathalys, Marianne, Tata Anne, Yvette et à tous ceux des frères et sœurs consacrés à la louange de notre Seigneur par la proclamation de la bonne nouvelle.

    À tous les enfants et les jeunes étoiles du CEP Colombes.

    À ma belle famille.

    À mes chers parents, mes chers frères et sœurs, et leurs familles.

    À tous mes amis.

    Sauf indication contraire, les textes bibliques sont tirés de la Bible Segond.

    © Les Éditions du Net, 2013

    ISBN : 978-2-312-01006-9

    Introduction

    Que dit la Parole ?

    Voici l’exhortation de l’apôtre Pierre : « Sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous » (1 Pierre 3. 15). Notre espérance est fondée sur la parole de YAHWEH Dieu le Père. Que dit sa Parole ? « Nous avons auprès de lui cette assurance que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée » (1 Jean 5. 14-15).

    Le témoignage d’une bonté aussi merveilleuse ne peut être étouffé. Impossible ! La main bienveillante de Dieu réjouit tellement nos cœurs en permanence que l’âme échauffée ne peut se contenir. En toute reconnaissance, elle peut alors librement méditer, murmurer, supplier, narrer, chanter, danser ou pousser des cris de joie en réponse aux œuvres admirables du Seigneur. C’est au sommet de l’admiration que dans l’être se forme l’arc réflexe de l’exaltation de Dieu. S’ensuit la publication de ses hauts faits. Cela s’appelle de la louange.

    Qu’est donc la louange ?

    Elle n’est pas un effort. C’est un langage de vérité. Une vérité qui célèbre la grandeur et l’amour infini de Dieu. L’œuvre rédemptrice de l’humanité entière accomplie par le sang de Jésus-Christ en est la pierre d’angle. Pour celui qui croit à cette parole et qui le déclare devant Dieu et les hommes, ses péchés sont pardonnés et leurs conséquences néfastes sont définitivement effacées. La bonté du Seigneur se manifeste dans nos vies avant même que nous ayons conscience de sa proche présence à nos côtés. Dieu est amour. Cet amour concourt à la révélation de sa personne indépendamment de notre entendement limité.

    Lorsque nous apprenons à connaître Christ, à avoir la révélation de son amour, il n’est plus possible de se taire. Continuellement, en tout lieu, en tout temps, nous bénirons, glorifierons, magnifierons et célébrerons sa gloire par l’inspiration du Saint-Esprit. Alors la louange de sa gloire jaillira du plus profond de notre être. La joie de Dieu dans notre âme régénérée, puis rafraîchie, s’égouttera sur nos lèvres inspirées. Avec allégresse, nous chanterons le cantique populaire qui dit : « Il est bon de louer Dieu, alléluia ! Louons-Le, alléluia ! Louons-Le, alléluia ! Hosanna ! »

    Dans le cœur, lorsque la mèche de la louange reçoit le feu de Dieu, en principe sa flamme est inextinguible. L’œuvre de la croix est une célébration éternelle. La mort, la résurrection et l’ascension de Christ sont un triomphe. Recevoir Jésus-Christ comme son Seigneur et son Sauveur personnel, c’est donner une fête en l’honneur de notre Dieu créateur. Célébrer l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde, c’est sortir des ténèbres de l’Égypte, la maison de servitude spirituelle ! Tout change ! Fini l’ancien statut d’esclave, je suis désormais libre. Fini le joug de Satan, ce pharaon qui exerce une oppression constante et permanente sur l’humanité.

    Louer, c’est chanter Christ, l’hymne des rachetés. Or, Dieu est exceptionnel. Le Seigneur fait des choses exceptionnelles avec des hommes ordinaires qui, au final, deviennent aussi exceptionnels ! Avec lui, nous apprenons à n’être impressionnés par rien au monde ! En revanche, notre regard doit s’exercer à identifier Christ agissant au travers de ses fidèles serviteurs.

    Les programmes d’instruction civique n’intègrent guère les Saintes Écritures. C’est déplorable. Ce que nous apprenons à l’école laïque est accessoire et superficiel. Cependant, à la bonne heure, le Seigneur féconde, multiplie et capitalise l’effort d’apprentissage volontaire. Ainsi, tout ce qui est bien appris devient utile à son service, quelle qu’en soit la formation. Rien n’est jamais perdu !

    Dans la prière, nous allons à Dieu

    Par la louange, Dieu vient à nous ! La prière frappe à la porte de Dieu ; mais quand nous louons le Seigneur, notre cœur s’abandonne promptement à sa compassion. La prière fait monter nos requêtes ; la louange fait descendre l’exaucement de nos prières. La louange est elle-même un mode de prière. Elle procède par murmures ou par supplication avec actions de grâces. En lisant le Psaume 139. 1-18, nous percevons la louange de Christ. Elle s’exprime par la bouche du prophète David, inspiré par l’Esprit de Dieu. Toute sa vie fut une louange à la gloire du Seigneur.

    David fut un homme selon le cœur de Dieu (1 Samuel 13. 14). Cet homme comprit très tôt qu’il était redevable au Seigneur pour toutes les choses accomplies dans sa vie. Dieu le tira des troupeaux de son père pour succéder à Saül le premier roi d’Israël devenu idolâtre (1 Samuel 28. 8). David et bien d’autres auteurs ont révélé leur inspiration de serviteurs de Dieu dans le livre des Psaumes comme un héritage qui témoigne de la grandeur de Dieu à l’intention de nos cœurs, nos lèvres et nos oreilles. David fut un adorateur en esprit et en vérité.

    La louange est la langue d’un cœur en fête

    En sondant ce qu’est la louange, en examinant son impact à la lumière de la parole de Dieu, nous aurons compris que les œuvres de puissance, les révélations, la consolation, le réconfort infaillible et le repos sont les privilèges d’un cœur qui exalte Dieu sans cesse. La louange est une célébration, un festival de réjouissances. Dès lors, l’âme s’abandonne, le cœur s’offre, et la voix porte l’offrande sanctifiée à Dieu. Ce n’est pas en vain que l’apôtre Paul dit expressément ceci : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » (Romains 12. 1).

    Cette parole est une définition succincte de ce qu’est l’adoration de Dieu en esprit et en vérité. Il n’y a pas de meilleure réponse à la grâce qu’une louange estampillée du nom de Christ. La louange commémore l’Agneau de Dieu. Pâque et cantiques vont de pair. La louange est un rendez-vous de la foi en l’œuvre rédemptrice de la croix. Elle appelle, invite et implore Dieu. Elle donne la parole au Seigneur, laisse l’initiative à l’Esprit et s’attend à l’action de Dieu. Ce devrait être l’objectif primordial de toute réunion de prière. Quelle peut être l’offense faite à Dieu de prétendre se réunir en son nom, sans au préalable par la louange l’inviter à présider la séance !

    La louange est une clé spirituelle en or

    Elle fonctionne comme un passe-partout. Elle ouvre de nombreuses portes. Il est indispensable de la posséder. Son usage n’a pas de limites. En toute occasion, en toutes circonstances, en toute saison, favorable ou non, la louange ancre solidement notre foi en Christ ! L’apôtre Paul dit : « Ne nous conformons pas au siècle présent, mais soyons transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que nous discernions quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait » (Romains 12. 2). Grâce et louange sont indissociables.

    Ce livre ne fait pas une étude complète de la louange. Son objectif est d’encourager toute personne à louer Dieu sans conditions. Décomplexée, la louange invite solennellement le Saint-Esprit à diriger notre entreprise spirituelle à la gloire du Ressuscité afin de goûter aux superbes fruits de la grâce.

    Chapitre 1 : L’empreinte de Dieu

    La fièvre n’abandonnait pas

    Samuel était fébrile depuis quelques jours. Nous priâmes pour sa guérison, mais aucun changement ne fût perceptible. Ce qui semblait être une bronchite se manifesta avec plus d’acuité. L’enfant avait une quinte de toux grasse. L’écoulement nasal était pour le moins abondant. Malgré la médication de première intention, la fièvre et les autres signes cliniques persistèrent. Au troisième jour, son appétit avait baissé. Un rendez-vous chez le pédiatre s’était imposé pour le lendemain. Cependant en toute confiance, je m’adressai à Samuel en lui disant :

    « Ô mon fils ! La fièvre n’abandonne pas. Mais sois assuré : Jésus-Christ a renversé les fondements de la maladie. N’aie crainte, la victoire est définitivement dans notre camp. »

    « Tu sais ! Rien ne résiste à la puissance de l’œuvre de la croix. Nous allons procéder autrement, sous l’inspiration de l’Esprit de grâce. D’ailleurs, ne t’appelles-tu pas TETELESTAÏ (traduction grecque de - Tout a été payé - prononcé par Christ à la croix). Alors, réclamons la grâce de Dieu ! »

    En parlant au Seigneur, je reçus la conviction de ne pas baisser les bras. Il fallait s’y prendre différemment. Comment ? N’ayant aucune idée, je laissai l’initiative à Dieu. Cependant, la nuit avant de mettre Samuel au lit, je le pris dans mes bras pour le recommander de nouveau au Seigneur. Après l’avoir mouché, aussitôt mon fils s’endormit. Cette tâche accomplie, je me suis disposé à être attentif à la voix du Saint-Esprit. Malgré d’abondantes supplications, je ne perçus aucune direction significative. Sans abandonner la partie, je rendis néanmoins grâces pour les soins imperceptibles dont Samuel bénéficiait déjà dans la présence de Jésus-Christ.

    Persévérer dans la prière

    L’idée de persévérer dans la prière ne me quitta pas d’un poil. Pendant que je renouvelais mes instances au Seigneur, le récit de la passion de Christ imprégna mon esprit. Peu après, un cantique de la grâce, engendré au plus profond de mes entrailles, se cristallisa sur ma langue. À voix basse, je fredonnai ces paroles :

    Refrain : Ô Jésus ! (bis)

    Dieu le Fils, Seigneur Jésus !

    Le Roi des rois, Seigneur Jésus !

    Le Saint de Dieu, Seigneur Jésus !

    Tu es Sauveur, Seigneur Jésus !

    Agneau de Dieu, Seigneur Jésus !

    La pâque de Dieu, Seigneur Jésus !

    Agneau immolé, Seigneur Jésus !

    Ressuscité, Seigneur Jésus !

    La gloire de Dieu, Seigneur Jésus !

    Notre chemin, Seigneur Jésus !

    La vérité, Seigneur Jésus !

    La vie de Dieu, Seigneur Jésus !

    Le Fils unique, Seigneur Jésus !

    Le pain vivant, Seigneur Jésus !

    Lumière du monde, Seigneur Jésus !

    La guérison, Seigneur Jésus !

    La délivrance, Seigneur Jésus !

    La paix de Dieu, Seigneur Jésus !

    Justice de Dieu, Seigneur Jésus !

    Repos de Dieu, Seigneur Jésus !

    Louange à Dieu, Seigneur Jésus !

    Tu es victorieux, Seigneur Jésus !

    La manne de Dieu, Seigneur Jésus !

    Bannière de Dieu, Seigneur Jésus !

    Le doigt de Dieu, Seigneur Jésus !

    L’index de la grâce, Seigneur Jésus !

    Le trésor du royaume, Seigneur Jésus !

    À l’assaut !

    Le refrain et les strophes résonnèrent fortement dans mon cœur. Le chant exaltait les prouesses de Jésus-Christ, le Roi des rois, Seigneur des seigneurs (Apocalypse 19. 11-16). J’eus le sentiment d’entendre des soldats résolus se lancer à la poursuite d’un ennemi débusqué. Au fur et à mesure que je prononçai les paroles de ce cantique, une clameur silencieuse s’élevait avec puissance au plus profond de mon être. C’était inhabituel ! Ce qui se déroulait dans l’invisible retentissait dans mon âme. L’armée de l’Éternel s’apprêtait à donner l’assaut dans le camp de l’ennemi. Combien de temps ai-je fredonné ce cantique à la gloire de Dieu le Fils unique ? Je ne sais ! Probablement une bonne heure jusqu’à ce que je sois gagné par le sommeil.

    C’est au réveil que je réalisai concrètement ce qui s’était produit durant la nuit. En effet, l’armée céleste avait enfoncé les barrières de l’ennemi. À la croix, Christ a défait l’arrière-garde de nos maladies et de nos infirmités (Matthieu 8. 17). La déroute de l’adversaire est certaine. Sa capitulation a été établie. En conséquence, la guérison de Samuel s’est manifestée sans ambiguïté. Le petit ne toussa pas un seul instant durant la nuit. Son sommeil ne fut pas agité. L’encombrement nasal se dissipa. Samuel put dormir profondément sans être dérangé jusqu’au matin. La puissance du Seigneur eut raison de la fièvre, de la toux, de l’écoulement nasal et de l’affection des bronches.

    En tous les cas, je vis le nourrisson se lever avec une redoutable forme olympique. Il était détendu. Sa tétine à la bouche, Samuel me regarda droit dans les yeux. Son sourire puéril en disait long. Il semblait crier : Hourra ! Ah, cela aurait été extraordinaire s’il avait été en âge de parler ! Comment a-t-il vécu l’intervention surnaturelle de Christ ? J’aurais bien aimé le savoir. Hélas !

    Quoi qu’il en soit, la joie ressentie en pareille circonstance est d’abord muette, puis débordante. Plus on évalue la situation, mieux on comprend la puissance phénoménale du sang de Christ ! La consultation préconisée chez le pédiatre n’avait plus lieu d’être. La fièvre avait été décapitée. La bronchite carabinée avait été battue à plates coutures par le bras de l’Éternel. Ouah, quelle raclée ! La débâcle de l’ennemi fut sérieuse. Alléluia ! Gloire à l’Agneau ! C’est alors que je me souvins de cette merveilleuse déclaration de David : « Le Seigneur a mis dans ma bouche un cantique nouveau, une louange à notre Dieu ; beaucoup l’ont vu, et ont eu de la crainte, et ils se sont confiés en l’Éternel » (Psaume 40. 4).

    Le souverain

    De ce merveilleux épisode, j’ai tiré un enseignement capital. Dans ce contexte précis, le cantique nouveau représentait un ordre irrévocable du Seigneur. Une bataille dans le ciel fut engagée. L’issue en fut salutaire sur la terre. La louange a actionné le bras du Seigneur. Ses ogives ont été armées. Une puissance explosive en est sortie. Le feu de Dieu a consumé la maladie. Le cantique inédit a déclenché une puissante bombe spirituelle. Son action a été dévastatrice. L’engagement de l’armée céleste a été entier et la victoire a été inéluctable.

    Certes, lorsque nous faisons des requêtes, le Seigneur écoute attentivement. Cependant, il ne faut guère se tromper. Son action salvatrice ne dépend pas de l’intensité de notre prose. L’opération du Seigneur est fondée sur la grâce en Jésus-Christ afin que personne ne se glorifie, de sorte que l’orgueil de notre culture religieuse soit révélé au grand jour. La foi est dans la parole de Dieu, mais la puissance est dans le nom de Jésus-Christ !

    La répétition des litanies, des prières formulées sans conviction, est une hérésie. En agissant ainsi nous ne prenons pas Dieu au sérieux. Cette démarche vaut pour les personnes adonnées aux jeux de loterie. Dieu porte un regard favorable sur celui qui

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