La révolution de la longévité a bel et bien débuté. Les chercheurs savent désormais allonger l’espérance de vie de petits animaux, donner un coup de jeune à des cellules centenaires, et la metformine, molécule prescrite contre le diabète depuis plus de vingt-cinq ans, est à l’étude pour devenir le premier médicament antivieillissement, tant ses effets sur l’espérance de vie sont bluffants. En attendant de bénéficier de toutes ces avancées, on se concentre sur notre capital santé pour vieillir dans de bonnes conditions. « C’est comme un livret d’épargne : on a tous un capital de départ, et on peut soit le dépenser sans se soucier du lendemain (en mangeant mal, en buvant, en fumant…), soit essayer de le maintenir, voire de le faire fructifier », résume le Dr Christophe de Jaeger, médecin spécialisé dans la prévention du vieillissement (1). Voici les stratégies qui payent pour préserver notre jeunesse.
20 à 25 % seulement de la façon dont on vieillit est liée à nos gènes. Le reste dépend de notre mode de vie.
On adapte les enseignements des zones bleues
Dans un documentaire Netflix intitulé on découvre que ces endroits – qui comptent un taux de