« S’endormir à Berlin, se réveiller à Paris, c’est de nouveau possible », savoure Clément Beaune, en surplomb d’une nuée de journalistes allemands présents le 11 décembre pour immortaliser la relance du train de nuit entre les deux capitales. Un sifflet aigu fend l’air. Il est 20 h 25. Et le tableau de bord affiche déjà un retard
CLÉMENT BEAUNE UN TRAIN DE NUIT NOMMÉ DÉSIR
Dec 21, 2023
2 minutes
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