uoi de plus étrange que de rapprocher le Salon de Lyon, qui s’est tenu du 28 septembre au 2 octobre et celui de Genève-Qatar, à Doha, du 5 au 14 octobre ? Oui, vous avez bien lu : Genève-Qatar, ou plus exactement GIMS-Qatar (Geneva International Motor Show). Voilà, dès le nom de l’événement, une surprenante distorsion géographique, tant on peinerait à trouver un écho aux alpages helvétiques au milieu des déserts qataris. Que vient donc faire le Salon de Genève à Doha ? En coulisse, assurer sa survie financière et donc la possibilité, enfin, de renouer en 2024 avec un Salon sur les rives du lac Léman. Cela n’est pas rien si l’on se souvient qu’en 2020, son annulation pour cause de Covid s’était décidée, quelques jours à peine avant l’ouverture, alors que tous les frais étaient déjà engagés. Depuis, en dépit des efforts de son équipe, le retour du rendez-vous suisse n’a pas pu se concrétiser. Sandro Mesquita, le patron du Salon, assure également que cela a été l’opportunité de construire une marque et de
ENVIES D’AILLEURS
Oct 19, 2023
6 minutes
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