LORS QU’APPROCHE L’ÉTÉ INDIEN,, nous revient cette voix qui semblait légender un improbable film de Lelouch : « Tu sais, je n’ai jamais été aussi heureux que ce matin-là », suivi d’un va-va-va aérien. La chanson de Joe Dassin lécha les plages de 1975 comme un entêtant ressac. Ce n’est peutêtre qu’un détail pour vous, mais ce phénomène est mort. Nous venons de vivre un nouvel été sans tubes, ces, , etc. A l’occasion, on s’instruisait avec Joe Dassin sur les aquarelles de Marie Laurencin, les températures au nord de l’Amérique, etc.
