N AVAIT DÉJÀ beaucoup apprécié ses ouvrages sur Jacques Brel ou le rock dans les grandes largeurs, ou son dernier d’obédience modianesque. Cette fois, François Gorin nous raconte, avec sa plume vivace, son rapport à Scott Walker, qu’il a rencontré une seule et unique fois, en 2006. Mais dont il se charge ici de brosser un portrait atypique. Car le musicien d’adoption anglaise “ Remontant aux années 1960, interrogeant” dans les années 2000. Un très beau livre, où l’on apprend beaucoup sur Walker… mais aussi sur nous-mêmes.
