ur, dur… Il ne suffit plus d’écrire de bons livres et d’avoir une belle notoriété pour figurer dans notre palmarès. Ainsi des académiciens ou (et) anciens Prix Goncourt publiés en janvier, dont les chiffres de vente sont plus que modestes. 3 000 exemplaires pour de Patrick Grainville, académicien français et Goncourt 1976 ; 1 000 pour l’essai sur la littérature russe de son collègue du Quai Conti Dominique Fernandez, Goncourt 1982 ; 3 000 pour de l’immortel Dany Laferrière ; 7 500 pour de l’homme en vert Andreï Makine (lauréat 1995) ; 3 500 pour du président de l’académie Goncourt Didier Decoin (lauréat 1977) ; 6 000 pour l’ de Lydie Salvayre (lauréate 2014)… Bon, il y a des contre-exemples tels que Pierre Lemaitre, Daniel Pennac, J. M. G. Le Clézio (21e), Erik Orsenna (23e)… N’empêche, le constat est rude. Que faire ? Se reconvertir dans la romance ?
Les académiciens au pas
Mar 09, 2023
1 minute
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