LA DÉCISION DE DOCTOLIB de déréférencer les professionnels des pratiques complémentaires (naturopathie, sophrologie, hypnose…) interroge sur les raisons du cloisonnement entre celles-ci et la médecine conventionnelle.
Alors que la moitié des Français utilisent ces pratiques dites aussi « de bien-être », nous appelons à fédérer tous les acteurs du « prendre soin » et à travailler ensemble pour les structurer, les sécuriser, les évaluer. À donner plus de clarté sur le bon usage de ces pratiques