Valérie Bonneton « J’aime m’activer le matin »
Hors de question pour elle de revivre les dimanches de son enfance. Ces après-midi entiers à jouer aux cartes en regardant tomber la pluie avec le ronronnement de la télé en fond sonore, non merci. La fille du Nord s’active quotidiennement à conjurer l’ennui et la morosité de ses anciens décors miniers dans la vie qu’elle s’est organisée à Paris depuis son arrivée à 18 ans, sans un sou en poche. Ça tombe bien : jusqu’au printemps, l’actrice révéléepuis par la comédie générationnelle (2010) devra se rendre tous les dimanches après - midi au Théâtre Édouard-VII (Paris 9 ). Dans , la nouvelle pièce de Sébastien Thiéry, Valérie Bonneton et son mari de scène, Stéphane De Groodt, se retrouvent projetés dans un univers parallèle où ils ne reconnaissent ni leur appartement ni leurs vêtements. Un cauchemar domestique… Les jours qui précédaient la première, fin janvier, l’ancienne élève pourtant pas traqueuse du Cours Florent faisait un vrai cauchemar récurrent :
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