Les races anciennes sauvées par des amateurs!
“Mes parents étaient agriculteurs. Moi, je m’occupais de la basse-cour. Un jour, j’ai voulu élever des faisans. Alors j’ai pris des poules naines pour qu’elles couvent les œufs des faisans. Ça n’a plus jamais arrêté.
Depuis cinquante-sept ans, j’ai sauvé des crèvecœurs, des merleraults, des pavillys… Aujourd’hui, j’ai une trentaine de races, toutes rares. Je m’en occupe pour les sauvegarder en les répandant le plus possible.» Jean-Claude Périquet, qui vit à Gincrey, près de Verdun dans la Meuse, était prof de mathématiques.
Aujourd’hui à la retraite, il se consacre à sa passion: ses animaux ailés.
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