Albert de Monaco « L’épuisement de Charlène est physique et moral. Elle devait se faire aider »
Malgré les épreuves, la fête nationale était l’occasion d’un moment de communion. La veille des célébrations, le prince souverain Albert II nous a accordé cet entretien. En exclusivité, il s’exprime sur la santé de la princesse Charlène et l’éducation de ses enfants comme sur ses combats pour Monaco, la crise sanitaire, les enjeux climatiques et ses espérances pour 2022.
Paris Match. Monseigneur, que représente à vos yeux cette fête nationale ?
Albert de Monaco. Un moment unique de communion, qui permet aux Monégasques de se rassembler autour de ma famille et de moi-même. C’est aussi l’occasion privilégiée de se réjouir ensemble de vivre dans un État de petite taille, certes, mais qui a l’avantage d’être stable, prospère et en paix, et qui a également su, dans la période actuelle, bien surmonter la pandémie, même si nous devons rester extrêmement vigilants, tous, où que nous soyons, puisque les chiffres remontent malheureusement un peu partout.
Personnellement, comment avez-vous vécu cette période ?
« La princesse ne souffre d’aucune maladie grave. Et ce n’est pas non plus un problème de couple »
Ce fut une période difficile pour tout le monde. On le sent bien, il y a partout une grande nervosité. On sent même une grande
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