Diabolisation politique: on ne change pas une stratégie qui perd
Nov 17, 2021
3 minutes
UNE CHRONIQUE D’ABNOUSSE SHALMANI
urant mon adolescence, à chaque échéance électorale, Jean-Marie le Pen était le croquemitaine qui s’évadait de sa caverne pour dévorer le débat politique. A 10 ans, parisienne depuis deux ans, je frémissais en famille aux apparitions de celui qui compromettait nos chances de retrouver une vie normale en France, après la révolution et la guerre qui sévissaient en Iran et que nous avions fuies. On scrutait le score du Front national, tel le baromètre de
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits