Les outils de vol
L’arrivée de Microsoft Flight Simulator a provoqué des vocations de pilotes virtuels chez nombre de nouveaux venus dans le monde de la simulation. Mais ces derniers peuvent légitimement se sentir intimidés par une planche d’instruments aux dénominations parfois absconses et dont l’interprétation des données peut mener à des erreurs de jugement. Mais nous pensons aussi aux vétérans de domaines plus pointus, liners ou appareils militaires modernes, pour qui les cadrans sont rarement utilisés au profit d’écrans numériques. Enfin pour les autres pilotes, quelques rappels de base sur les fonctionnements sont toujours utiles afin de mieux exploiter les montures virtuelles qui, sur ce point, sont très proches des avions réels.
Voilà pourquoi nous vous proposons un petit guide pratique de ces cadrans à aiguilles qui peuvent impressionner les néophytes ou paraître dépassés aux inconditionnels des G1000, dont les principes ont été abordés le mois dernier. Si nous abordons ce sujet sous l’angle de MSFS, il est évident que les principes édictés dans les pages qui suivent restent valables pour les autres logiciels – FS X, P3D, X-Plane, Aerofly FS et même dans une certaine mesure les avions anciens de DCS World. L’école de pilotage de MSFS comporte bien quelques indications sur les instruments à bord, mais le contenu reste rudimentaire et succinct. De plus, si les appareils légers d’aviation générale (du type monomoteur de tourisme et pourquoi pas les ULM) sont mis en avant ici, les principes restent applicables à tout ce qui vole depuis les débuts de l’aéronautique, même si tout est évoqué ici sous l’angle de la
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