Parcours sans faute
ascal Couturier a débuté le trial à 14 ans sur une Beta 50 de cross au guidon de laquelle il fit, en toute logique, cinq à toutes les zones, avant de tâter du cross, avec une BPS 50 Yak de trial qui lui permit néanmoins de terminer deuxième du motocross de Montereau en 1978. Puis il trouva le mode d’emploi – soit une moto de trial pour faire du trial – faisant main basse sur la Yamaha 125 TY paternelle « plus adaptée aux zones que les 50 cm » et suivit les stages de Patrick Renaud-Badet à Larchant puis ceux de Fred Michaud (le frère de Thierry) aux Deux-Alpes. Avant Pascal il y eut son papa, André, trialiste de la première heure. « Il a fait Clamart avec une Mobylette avant 1960 et une seule saison, faute de moyens, avec une Motobécane 175 qu’il avait achetée 500 francs sans le dire à son père. Il m’a souvent emmené voir des trials dans la région de Nemours et Fontainebleau, le berceau de la discipline en France, c’est de là que tout est parti », se souvient Pascal. Et il mord à l’hameçon au point de ne plus vivre que pour le trial. À la fin de la troisième, le champion en herbe arrête l’école pour se consacrer à sa passion. « Je ne pensais qu’à ça. Je ne regrette pas car finalement les choses se sont
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