L’IRR APPEL ÉSISTIBLE DE LA COURSE
Quel est votre premier souvenir lié à l’automobile ?
A la suite du décès de son oncle Ayrton et de celui de son père deux ans plus tard (dans un accident de moto), sa famille avait interdit à Bruno Senna de courir. Mais sa passion a été la plus forte et le Brésilien est parvenu à contourner ce veto familial.
Ayrton étant mon oncle, je me suis intéressé à l’automobile très tôt. Nous regardions ses courses à la télé avec mes grands-parents dans la ferme familiale. La première image que j’ai en tête est sa Lotus noir et or. Quand j’étais petit, j’avais toujours une voiture à la main. J’ai commencé à monter sur un kart à l’âge de 5 ans. C’était forcément très addictif. D’autant que, quand j’ai eu 7 ans, nous avions une piste à la ferme et je pouvais rouler tous les week-ends.
Vous avez eu de bons professeurs…
Mon oncle n’était pas souvent au Brésil et c’est plutôt mon grand-père qui jouait fréquemment le rôle de professeur. Quand il était présent, Ayrton nous rejoignait et nous pratiquions ensemble. Il ne me faisait pas de cadeau ! C’était fantastique. Il était une vraie source d’inspiration.
Pour vous, à
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