Remaniement : les confortés, les condamnés
Il y a de la tension dans l’air. Une ministre en témoigne : « Ce n’est pas hyper confortable. » À la veille du premier remaniement d’ampleur de l’ère Macron, l’inquiétude est palpable et les dossiers sont à l’arrêt. « On est tous en train d’attendre », poursuit cette membre du gouvernement. Qui va rester ? Se voir promu ? Perdre son poste ? Revue de détail.
Ceux qui devraient rester
Le ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier Véran, n’a que peu de souci à se faire : nommé in extremis en : Le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, n’est lui non plus pas désavoué, même si son étoile a quelque peu pâli ces derniers mois. constate un député. Emmanuel Macron lui conserve cependant toute sa confiance. Un habitué de l’Élysée assure : La très remuante secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, croit savoir un haut responsable. Mais un autre nuance :
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