Copie conforme
Des signes de la nostalgie qui guette une génération confrontée à l’effacement progressif de ce qui fut son apogée musical.
L’AFFICHE, AU DÉPART, passe inaperçue dans le désordre visuel du métro parisien. Puis l’oeil s’arrête sur trois noms, rassemblés un même soir en un concert unique : Supertramp, Dire Straits, Simon & Garfunkel. Un rêve, inespéré, de boomer (prière de ne pas sourire). Évidemment, après la sensation produite par les qu’a évoqués dans son numéro de décembre. Letz Zep, The Musical Box (pour Genesis), The Jimi Hendrix Revolution, One Night of Queen, The Beatbox, Best of Floyd, The Doors Alive… La petite entreprise de Richard Walter, le patron de Rock Legends, ne connaît pas la crise. Concerts bondés, éclairages et mises en scène d’origine, musiciens au cordeau qui s’essaient à la ressemblance physique en reproduisant le jeu de scène des modèles, tout est parfait.
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