Nord colonial
Nov 02, 2017
5 minutes
Texte ¬ Martin Bureau Québec, Canada Photographies ¬ Catherine Benoit et Martin Bureau Québec, Canada
C’est l’entrée marquée dans la forêt boréale qui, dans sa partie la plus australe, est composée essentiellement de conifères.
IL N’Y A RIEN QUI RESSEMBLE PLUS À UNE ÉPINETTE QU’UNE AUTRE ÉPINETTE. Lorsque l’on franchit le kilomètre zéro de la route 167, depuis la petite ville de Saint-Félicien au Lac Saint- Jean, on quitte également le Sud du Québec afin d’aborder le Nord, l’immensité du Nord.
Ce qui surprend d’emblée, dès que l’on s’éloigne de la plaine du Lac Saint-Jean afin de « prendre » le Parc de Chibougamau, c’est l’entrée marquée dans la forêt boréale qui, dans sa partie la plus australe, est composée essentiellement de conifères, de plus en plus chétifs et rabougris. À la mesure de l’interminable route,
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