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La Trinité de la Certitude (3)
La Trinité de la Certitude (3)
La Trinité de la Certitude (3)
Livre électronique182 pages1 heure

La Trinité de la Certitude (3)

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À propos de ce livre électronique

Dans ce chapitre, nous déchirerons le voile ultime.
Nous dévoilerons ce qui fut montré, qui fut présenté,
et pourquoi les connaître n'est pas seulement un savoir — mais un salut.

Nous révélerons comment le déni de cette vérité a donné naissance à mille sectes, et comment son affirmation restaurera le chemin fracturé vers l'Unique Voie.

Prépare-toi, ô lecteur —
Car ce qui suit n'est pas une interprétation.
C'est la vérité qui écrase le doute,
la certitude qui fait taire toutes les autres voix,
l'écho d'une voix qui n'a jamais menti.

Il arrive, dans l'ascension de chaque chercheur, un seuil au-delà duquel le savoir emprunté s'effondre…
Là où les échos s'éteignent, et où l'âme, ne se contentant plus de savoir ou de voir, doit devenir.

Ce seuil, c'est Ḥaqq al-Yaqīn — la Vérité de la Certitude.

Depuis l'aube de la conscience humaine,
les gens ont vécu prisonniers entre ouï-dire et hallucination —
entre 'Ilm al-Yaqīn, la connaissance entendue par les oreilles…
et 'Ayn al-Yaqīn, la vision perçue par les yeux.

Mais seuls ceux que Dieu guide atteignent la troisième station — Là où la vérité n'est ni décrite, ni observée — mais incarnée.

Ici, la certitude ne s'apprend pas — elle se vit.
Elle brûle les voiles, fracasse les illusions, et anéantit l'arrogance du « je sais ».

Ici, la langue devient muette…
Car la certitude ne se prononce pas — elle se manifeste.
Les livres se taisent, les images s'effacent, même la pensée se prosterne !
Car ce qui se dévoile à ce stade, c'est la Présence :
la lumière cachée, autrefois montrée aux anges,
cachée aux aveugles, et gardée par les purifiés.

« Puis Il les présenta aux anges… »

Et par cet acte, le monde fut redéfini.

Dans ce troisième chapitre, nous n'interpréterons pas —
nous dévoilerons.
Nous exposerons ce qui fut présenté, qui fut honoré,
et pourquoi les connaître n'est pas une vérité facultative,
mais le chemin même du salut.

Nous montrerons comment le rejet de cette réalité a enfanté la division, la déformation et l'obscurité,
et comment sa reconnaissance est la seule clé pour réunir le sentier brisé vers le Divin.

LangueFrançais
ÉditeurS. Norman Gee
Date de sortie7 juil. 2025
ISBN9798231849642
La Trinité de la Certitude (3)
Auteur

S. Norman Gee

إِسمي، إس. نورمان جي، أستاذ وباحث وخبير في التفكير الحرج، والنقد، ولديَّ إلمام دقيق ومعرفة واسعة باللغة العربية، بما في ذلك مبادئ الصرف والنحو. أحمل شهادة عليا في إدارة الأعمال، تخصص في التواصل الاجتماعي وعلوم الحاسوب. أجري بشكل منتظم تحقيقات علمية واستفسارات منهجية في مواضيع محددة بهدف توسيع الوعي الإنساني وخلق معرفة جديدة ومعاصرة، ترتقي بالفهم والإدراك والإستيعاب، إلى الدرجة التي تواكب العصر.

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    Aperçu du livre

    La Trinité de la Certitude (3) - S. Norman Gee

    Introduction

    Il vient un moment , dans l’ascension de toute âme, où le savoir ne suffit plus...

    où voir ne comble plus...

    où la réalité n’exige plus la réflexion, mais l’union.

    Ce moment, c’est Ḥaqq al-Yaqīn — la Vérité de la Certitude.

    Depuis l’origine, l’humanité chancelle entre des vérités empruntées et des reflets assombris.

    Elle s’est accrochée à ce qu’on lui a enseigné — ‘Ilm al-Yaqīn, la connaissance de la certitude...

    Elle a entrevu des éclairs de réalité à travers les voiles de la vision — ‘Ayn al-Yaqīn, l’œil de la certitude...

    Mais seuls quelques élus gravissent la dernière marche — là où la vérité n’est plus recherchée, car elle devient toi, et tu deviens elle.

    Ici, la langue se tait, car la certitude ne se dit pas — elle rayonne.

    Ici, les livres se referment, les yeux se ferment, et même la pensée s’incline en soumission —

    Car ce qui se tient devant toi est la Présence dévoilée, le secret éternel, la lumière qui fut autrefois montrée aux anges et dissimulée aux arrogants parmi les hommes.

    « Puis Il les présenta aux anges... »

    — et le monde, en cet instant, fut remodelé.

    Dans ce chapitre, nous déchirerons le voile ultime.

    Nous dévoilerons ce qui fut montré, qui fut présenté,

    et pourquoi les connaître n’est pas seulement un savoir — mais un salut.

    Nous révélerons comment le déni de cette vérité a donné naissance à mille sectes, et comment son affirmation restaurera le chemin fracturé vers l’Unique Voie.

    Prépare-toi, ô lecteur —

    Car ce qui suit n’est pas une interprétation.

    C’est la vérité qui écrase le doute,

    la certitude qui fait taire toutes les autres voix,

    l’écho d’une voix qui n’a jamais menti.

    Il arrive, dans l’ascension de chaque chercheur, un seuil au-delà duquel le savoir emprunté s’effondre...

    Là où les échos s’éteignent, et où l’âme, ne se contentant plus de savoir ou de voir, doit devenir.

    Ce seuil, c’est Ḥaqq al-Yaqīn — la Vérité de la Certitude.

    Depuis l’aube de la conscience humaine,

    les gens ont vécu prisonniers entre ouï-dire et hallucination —

    entre ‘Ilm al-Yaqīn, la connaissance entendue par les oreilles...

    et ‘Ayn al-Yaqīn, la vision perçue par les yeux.

    Mais seuls ceux que Dieu guide atteignent la troisième station — Là où la vérité n’est ni décrite, ni observée — mais incarnée.

    Ici, la certitude ne s’apprend pas — elle se vit.

    Elle brûle les voiles, fracasse les illusions, et anéantit l’arrogance du « je sais ».

    Ici, la langue devient muette...

    Car la certitude ne se prononce pas — elle se manifeste.

    Les livres se taisent, les images s’effacent, même la pensée se prosterne !

    Car ce qui se dévoile à ce stade, c’est la Présence :

    la lumière cachée, autrefois montrée aux anges,

    cachée aux aveugles, et gardée par les purifiés.

    « Puis Il les présenta aux anges... »

    Et par cet acte, le monde fut redéfini.

    Dans ce troisième chapitre, nous n’interpréterons pas —

    nous dévoilerons.

    Nous exposerons ce qui fut présenté, qui fut honoré,

    et pourquoi les connaître n’est pas une vérité facultative,

    mais le chemin même du salut.

    Nous montrerons comment le rejet de cette réalité a enfanté la division, la déformation et l’obscurité,

    et comment sa reconnaissance est la seule clé pour réunir le sentier brisé vers le Divin.

    Prépare-toi, ô lecteur —

    Car ce qui vient n’est ni métaphore, ni supposition.

    C’est la réalité retentissante qui réduit chaque mensonge au silence,

    la clarté qui noie toutes les nuances,

    et le dévoilement d’un nom longtemps nié, mais jamais absent.

    Ce n’est pas la fin du voyage.

    C’est le seuil de l’arrivée.

    Un voyage à travers les barrages de l’ignorance vers l’aube de la certitude

    Dans les premier et deuxième parties, nous avons entrepris un voyage contemplatif et intellectuel — une quête visant à démêler les enchevêtrements déroutants, merveilleux, obscurs et insaisissables des méthodes, cadres, techniques et épistémologies de la transmission héritée — qui avaient été insidieusement implantés dans les esprits.

    Nous avons œuvré — armés de toute la force rationnelle que nous pouvions invoquer — à démanteler les barrières imposantes des interprétations héritées :

    ambiguës, voilées, embrouillées, déguisées, et bien éloignées de la clarté — loin de la raison.

    Et alors même que nous nous sommes retrouvés face à face avec les révélations textuelles les plus profondes,

    nous avons osé en écarter les couches, en fendre les significations superposées —

    ces significations qui avaient rompu le lien entre la révélation et la raison.

    Car les musulmans sont devenus des auditeurs...

    mais la Vérité contenue dans les versets de Dieu ne peut être saisie que par des intellects éveillés et croyants.

    Adam était-il un Calife ?

    Dans la Sourate al-Baqarah, lorsque Dieu — Exalté soit-Il — déclara :

    « En vérité, Je vais établir un calife sur la Terre »,

    Adam ne fut pas explicitement nommé comme ce calife.

    Ce qui fut annoncé, c’est le concept même autour duquel se sont articulées les interrogations des anges —

    nous donnant clairement l’impression qu’aucune affirmation directe et non équivoque ne désignait Adam comme ce calife à ce moment précis.

    La question des anges n’était pas une objection à l’acte de création ou à la désignation en soi.

    C’était une interrogation — une exploration de la nature de celui qui viendrait répandre la corruption et verser le sang sur la Terre,

    fondée sur leur expérience antérieure avec d’autres créatures.

    « Et Il enseigna à Adam tous les noms. »

    Ce n’étaient pas les noms d’objets physiques ou matériels, comme certains l’ont à tort supposé.

    C’étaient des noms profonds — des noms relatifs aux essences, aux réalités métaphysiques, aux vérités pures au-delà de toute forme tangible.

    L’acte divin d’enseigner à Adam n’était pas une simple transmission d’informations ;

    c’était un dévoilement lumineux — une guidance rayonnante qui lui ouvrit les portes de ce qui se trouve au-delà du monde visible.

    Ce n’étaient pas des données, mais une révélation divine —

    une initiation sacrée au langage de l’essence.

    La prosternation devant Adam

    Lorsque les anges se prosternèrent devant Adam,

    ce n’était pas en hommage à lui en tant qu’être humain.

    Leur prosternation visait ce qu’il portait en lui —

    une connaissance et une perception qui lui permettaient de saisir des vérités inaccessibles aux autres.

    En vérité, c’est la connaissance qui élève l’âme.

    Elle s’acquiert par la réflexion et l’expérience,

    et non par héritage comme le pouvoir —

    car le pouvoir peut être détourné,

    mais la connaissance, lorsqu’elle est véritable, devient lumière.

    La prosternation ne fut pas pour Adam en tant qu’individu,

    mais pour cette connaissance divine que Dieu lui avait accordée —

    la connaissance de ceux qui portent les Noms,

    une connaissance qui le distingua de toutes les autres créatures à cet instant.

    Cette distinction ne résidait pas dans la forme physique d’Adam,

    mais dans sa reconnaissance de ces êtres sacrés,

    dont Dieu lui avait enseigné les noms —

    grâce que les anges, eux, n’avaient pas reçue.

    Et comme preuve :

    Dieu présenta chacun de ces êtres, un par un,

    puis demanda aux anges de les nommer — mais ils en furent incapables.

    Ensuite, Il interrogea Adam — et Adam savait.

    Révèle-moi...

    Dans le Qurʾān, le mot — Informez-Moi n’est pas une simple requête d’information.

    C’est une proclamation divine qui porte en elle un appel à dévoiler une vérité bien plus profonde qu’une simple énumération de noms.

    Lorsque Dieu dit aux anges :

    « Informez-Moi des noms de ceux-là, si vous êtes véridiques »,

    la question ne portait pas uniquement sur l’identification des noms de ceux qui furent présentés.

    Elle constituait plutôt une déclaration — un signal indiquant qu’il existe une forme de savoir plus élevée, un savoir qui dépasse les limites de la connaissance angélique.

    Une connaissance confiée à Adam, et que Dieu destinait aux enfants d’Adam à rechercher et à hériter.

    Cette question fut une affirmation que les anges ne possédaient pas ce savoir, et que leur compréhension avait des limites.

    Alors qu’Adam — à qui furent enseignés les noms et présentés les porteurs de ces noms — avait reçu de Dieu un savoir distinct,

    un savoir qui le qualifiait pour une position de distinction parmi toutes les autres créatures.

    Ainsi, cette question représentait aussi le dévoilement du nouveau rôle cosmique de l’être humain — un rôle fondé sur la connaissance et la sagesse, une forme de savoir inexistante parmi d’autres êtres tels que les anges ou les djinns.

    Par ce savoir, l’être humain fut destiné à devenir une créature de choix, de responsabilité morale, et de finalité active dans le théâtre de la création.

    Quelle est l’étendue du pouvoir de Dieu dans la transmission de Son message ?

    Le pouvoir de Dieu dans la transmission de Son message ne se limite pas à l’humanité — il englobe toute la création, selon la manière et la voie qu’Il détermine Lui-même.

    Il n’est pas restreint à un message unique et figé,

    mais s’adresse à chaque créature en fonction de sa capacité, de sa réceptivité, et de son aptitude à comprendre la vérité.

    La distinction entre la connaissance humaine et la connaissance divine.

    L’interprétation rationnelle repose sur des concepts humains —

    des concepts susceptibles de devenir obsolètes ou périmés à une époque donnée. Tandis que

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