Câblé différemment: Reconstruire l'amour après une dépression neurodivergente

Par Jessica Hintz

Connecté différemment - ​​Reconstruire l'amour après une dépression neurodivergente

Par Jessica Hintz

Vous naviguez dans l'amour avec le TDAH, l'autisme ou d'autres traits neurodivergents et avez du mal à rester connecté ?

Tu n'es pas seul et tu n'es pas brisé.

Dans Câblé différemmentJessic

• Langue: Français
• Éditeur: Jessica Hintz
• Date de sortie: 5 juin 2025
• ISBN: 9798349395949

Aperçu du livre

Câblé différemment

Reconstruire l'amour après une dépression neurodivergente

Jessica Hintz,

États-Unis, 2025

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Titre du livre : Wired Differently

Sous-titre du livre : Reconstruire l'amour après une dépression neurodivergente Auteur : Jessica Hintz

© 2025, Jessica Hintz

Tous droits réservés.

Auteur : Jessica Hintz

Contact : [e-mail]

CONTENU

PREMIÈRE PARTIE : LA DÉCOMPOSITION

Chapitre 1 : Le raté

Chapitre 2 : Ce que nous ne savions pas

Chapitre 3 : Parler différentes langues

CHAPITRE 4 : LE JEU DES BLÂMES

Chapitre 5 : Quand le silence devient un mur

DEUXIÈME PARTIE : LES TOURNANTS

CHAPITRE 6 : DIAGNOSTIC N’EST PAS UN GROS MOT

CHAPITRE 7 : UN NOUVEAU TYPE D'ÉCOUTE

CHAPITRE 8 : DES HYPOTHÈSES AUX ACCORDS

CHAPITRE 9 : LE FACTEUR SENSORIEL

CHAPITRE 10 : Impulsion, Pause, Réparation

TROISIÈME PARTIE : RECONSTRUIRE LA CONNEXION

CHAPITRE 11 : Apprendre la pause

CHAPITRE 12 : Stimulation, silence et espace partagé

CHAPITRE 13 : Le poids du monde

CHAPITRE 14 : Créer des rituels neurodivergents

CHAPITRE 15 : L’amour n’a pas à ressembler à ça

QUATRIÈME PARTIE : S'ÉPANOUIR ENSEMBLE

CHAPITRE 16 : Une thérapie efficace

CHAPITRE 17 : Ponts numériques

CHAPITRE 18 : Grandir en parallèle

CHAPITRE 19 : Écrire un nouveau scénario

CHAPITRE 20 : La confiance se construit, elle ne se présuppose

pas

Modules complémentaires optionnels

Outils et ressources pratiques pour des relations

neurodivergentes épanouissantes

PREMIÈRE PARTIE : LA

DÉCOMPOSITION

CHAPITRE 1 : LE RATÉ

Objectif du chapitre :

Aider les lecteurs à comprendre comment des styles de communication neurodivergents méconnus ou mal compris peuvent conduire à des ruptures relationnelles, et à commencer à normaliser ces expériences. Ce chapitre n'est pas une question de blâme, mais de prise de conscience, de reconnaissance et de premier pas vers l'épanouissement.

Section 1 : Qu’est-ce qu’un raté dans une relation ? ● Définir « raté »:Un « raté » dans la communication se produit lorsque le message envoyé n’est pas le message reçu – et dans les relations neurodivergentes, ces ratés ne sont pas rares, mais fréquents.

● Idée clé:La plupart des conflits ne naissent pas de la malveillance, mais d'un déséquilibre. Dans les dynamiques neurodivergentes, ce déséquilibre peut être d'origine neurologique, et non intentionnelle. Exemples de types de ratés d'allumage : ● Une interprétation littérale du sarcasme. ● Un arrêt sensoriel confondu avec un retrait

émotionnel.

● Une remarque impulsive prise pour de la cruauté

ou de l’indifférence.

● Le retard de traitement d'un partenaire est pris

pour du silence ou un rejet.

✅ Boîte à conseils pour les lecteurs : Commencez à remarquer : existe-t-il des schémas où vos disputes commencent par le fait de « manquer » le sens ou les besoins de l’autre ?

Section 2 : Communication dans les relations neurodivergentes

● Comprendre la neurodivergence:Expliquez brièvement ce que comprend la neurodivergence : TDAH, autisme, différences de traitement sensoriel, etc.

● Les personnes neurodivergentes peuvent communiquer différemment : elles utilisent un langage direct, ont besoin de plus de temps pour traiter l’information, subissent une surcharge sensorielle, luttent contre l’impulsivité, etc.

Par exemple:

● Un partenaire autiste peut éviter le contact visuel

non pas par désintérêt, mais parce que c’est trop stimulant.

● Un partenaire atteint de TDAH peut interrompre

souvent, non pas par impolitesse, mais parce qu’il a peur d’oublier sa pensée.

● Note importante:De nombreuses personnes neurodivergentes ont passé leur vie à se faire dire que leur communication était « mauvaise », ce qui a conduit au masquage, à la honte ou à une réactivité émotionnelle.

✅ Sujet de réflexion du lecteur : Repensez à votre dernier désaccord. Y a-t-il eu un moment où vous vous êtes senti incompris, ou avez-vous mal compris votre partenaire ? Quels traits neurologiques auraient pu être en jeu ?

Section 3 : Les coupables cachés derrière les ratés Ici, décomposez plusieurscauses courantesde problèmes de communication récurrents dans les partenariats neurodivergents :

1. Langage littéral et implicite

● Un partenaire dit : « Fais ce que tu veux », dans

une intention sarcastique.

● L’autre le prend au pied de la lettre, ce qui

entraîne encore plus de souffrance. 2. Surcharge sensorielle

● Les environnements bruyants ou les lumières

vives pendant un désaccord peuvent faire taire quelqu'un.

● Le partenaire considère cela comme une façon de

« les exclure ».

3. Dysrégulation émotionnelle ● Un partenaire atteint de TDAH peut passer de 0

à 100 émotionnellement, puis s’effondrer tout aussi rapidement.

● Cette intensité peut être déstabilisante pour

l’autre partenaire.

4. Traitement différé ou « vides » ● Une personne autiste peut avoir besoin de

quelques minutes ou de quelques heures pour répondre à des questions chargées d’émotion. ● Le partenaire suppose qu’il ignore le problème.

5. Impulsivité et réponses confuses ● Les mots sortent avant d’être filtrés. ● L’un des partenaires est blessé, l’autre regrette

mais ne peut pas « revenir en arrière ».

✅ Boîte de message clé : La communication neurodivergente n'est pas défectueuse, elle est simplement différente. Le problème n'est pastoiLe problème est quedécalage invisibleen termes d'attentes, de vitesse et de style.

Section 4 : Le coût émotionnel des ratés Expliquez ce que ces ratés continus font à une relation au fil du temps :

● Crée un sentiment demarcher sur des œufs. ● Les deux partenaires commencent à ressentirinvisible,inouï, ou

dangereuxémotionnellement. ● Même les petits conflits s’aggravent rapidement.

● UN manque de rituels de réparation(par exemple, le « nous en discuterons » neurotypique) provoque une montée de tension. ● L’un ou les deux partenaires peuvent commencer

àmasquer leur véritable identité, de peur de déclencher un autre conflit.

✅ Citation marquante : « Vous pouvez aimer quelqu’un profondément et ne pas comprendre comment fonctionne son cerveau. Sans cette compréhension, l’amour peut lentement perdre sa capacité à créer des liens. »

Section 5 : Présentation du concept de communication informée par les neurodivergents Il s'agit d'un pivot motivant et porteur d'espoir. Après avoir expliqué tout ce qui ne va pas, présentez en douceur ce qui peut aller mieux.droite:

● De nombreux couples ont des difficultés non pas

parce qu’ils ne s’aiment pas, mais parce qu’ils manquent dedes outils pour traduire leur amour dans la langue de l’autre.

● La communication informée par les neurodivergents concernes'adapter, pas fixation. ● Cela nécessite :

o Compréhension mutuelle de la façon dont

chaque cerveau traite le monde.

o Des cadres de communication partagés qui

réduisent les frictions.

o Stratégies de réparation qui prennent en compte

les déclencheurs et les styles de traitement neurodivergents.

✅ Instantané de la vie réelle Exemple de cas : Emma (TDAH) et Marcus (autiste) ● Marcus avait souvent besoin de plus de temps

pour répondre aux questions. Emma s'inquiétait et remplissait le silence de questions. ● Après avoir appris le délai de traitement, Emma a

introduit « prenez votre temps, j'attendrai » dans leurs conversations. Cette petite phrase a tout changé. ● « Pour la première fois, je ne me suis pas sentie

obligée de répondre instantanément. Et Emma ne s'est pas sentie ignorée. »

Section 6 : Validation de l’expérience du lecteur Cette section doit être empathique, directe et chaleureuse :

● Si vous lisez ceci après une rupture ou au milieu

d’une crise relationnelle,tu n'es pas seul. ● Vous avez peut-être passé des mois, voire des

années, à vous demander : « Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement y parvenir ? »

● La douleur que vous avez ressentie est réelle,

mais cela ne signifie pas que l’amour ne l’était pas. ● La dynamique neurodivergente ajoute de la

complexité, mais aussi des possibilités. ✅ Déclaration d'affirmation pour le lecteur : Ce qui t'a brisé, ce n'est pas le manque d'amour. C'est le manque de langage commun. Et le langage, ça s'apprend.

Section 7 : De la rupture à la percée (Un aperçu de l'avenir)

Préparez le terrain pour le reste du livre : ● Ce chapitre n’est pas la fin, c’est la porte d’entrée.

● Vous avez identifié lemodèle de raté d'allumage—maintenant le travail commence pour le décoder.

● Les chapitres suivants : o Vous aider à comprendre votre neurotype et celui

de votre partenaire.

o Construire des outils et des stratégies pour une

communication authentique et durable. o Vous accompagner dans la guérison des blessures

passées et la création de nouveaux rituels de connexion.

Exercice de clôture : « Le dernier combat » : réflexion

Prenez 5 à 10 minutes pour noter les éléments suivants :

● Quelle a été la dernière grande dispute ou le

dernier malentendu que vous avez eu avec votre partenaire ?

● Quels mots ou actions l’ont déclenché ? ● Avec le recul, des traits neurodivergents

étaient-ils impliqués : surcharge sensorielle, pensée littérale, impulsivité, etc. ?

● De quoi aviez-vous besoin et que vous n’avez pas

obtenu ?

● De quoi votre partenaire aurait-il pu avoir besoin

mais n’a-t-il pas pu l’exprimer ?

CHAPITRE 2 : CE QUE NOUS NE SAVIONS PAS

Objectif du chapitre :

Pour aider les lecteurs à réfléchir à la manière dontnon diagnostiqué ou mal comprisLes traits neurodivergents, tels que l'impulsivité liée au TDAH, le littéralisme autistique, les sensibilités sensorielles ou les dysfonctionnements exécutifs, peuvent discrètement éroder une relation. Ce chapitre promeutconscience de soi, réduitblâmer, et jette les bases decommunication compatissanteen remplaçant la confusion par la clarté.

Section 1 : Le coin invisible

« Nous ne cherchions pas à nous faire du mal. Nous ne savions simplement pas à quoi nous avions affaire. » Cette section s'ouvre sur une vérité simple : la plupart des couples, surtout lorsque l'un des partenaires, voire les deux, sont neurodivergents, ne réalisent ce qui ne va pas avant que le mal ne soit fait. Les disputes, l'éloignement, le ressentiment croissant… tout cela semble personnel, émotionnel, voire hostile. Mais sous la surface, il y a souvent un tiers silencieux à l’œuvre :neurodivergence non diagnostiquée ou mal comprise.

Exemples courants :

● Un partenaire avecTDAH non diagnostiquéOublie constamment des tâches, rate des rendez-vous et laisse les corvées à moitié terminées. Son partenaire perçoit cela comme de la « négligence » ou du « manque de respect », et non comme un problème cérébral affectant les fonctions exécutives.

● Un partenaire avecautisme non diagnostiquéévite le contact visuel, a besoin d'être seul après une activité sociale ou formule des commentaires brusques. Son partenaire se sent mal aimé, ignoré ou critiqué.

● Aucun des partenaires ne sait que ces

comportements sontd'origine neurologique, pas des défauts moraux.

✅ Sujet de réflexion :

Pensez à un problème récurrent dans votre relation passée ou présente. Est-il possible qu'une différence neurologique, et non un défaut de personnalité, en soit la cause ?

Section 2 : Comprendre ce qui est passé inaperçu 1. Le mythe de la « normalité » ● De nombreux couples entament une relation

avec des idées préconçues sur ce à quoi l’amour « devrait » ressembler :

o Envoi de SMS cohérent. o Chaleur émotionnelle. o Affection physique. o Se souvenir des anniversaires ou «