Crypto-monnaie nigériane: Naviguer dans le paysage juridique des actifs numériques sur les marchés émergents

Par Fouad Sabry

Dans le monde en constante évolution des cryptomonnaies, comprendre leur légalité dans différents pays est essentiel non seulement pour les investisseurs et les régulateurs, mais aussi pour toute personne impliquée dans l'écosystème de la finance numérique. « Nigerian Cryptocurrency » propose une exploration complète du paysage réglementaire, en se concentrant sur l'approche du Nigéria en matière de cryptomonnaies, et offre un aperçu essentiel de la manière dont ces actifs numériques façonnent les économies mondiales. Que vous soyez un professionnel, un étudiant de premier ou de deuxième cycle, ou simplement un passionné des technologies émergentes, cet ouvrage vous plonge dans les complexités et les nuances de la légalité des cryptomonnaies.

Les cryptomonnaies au Nigéria-Un aperçu de l'intérêt croissant du Nigéria pour les cryptomonnaies et de la position du gouvernement à ce sujet.

Le naira nigérian-Examine la relation entre la monnaie nigériane et les cryptomonnaies, en particulier le Bitcoin.

Légalité des cryptomonnaies par pays ou territoire-Une perspective mondiale sur la manière dont différents pays gèrent la légalité des cryptomonnaies.

Bulle des cryptomonnaies-Un aperçu de la nature spéculative des marchés des cryptomonnaies et des risques potentiels de bulles.

Monnaie virtuelle-Explication des monnaies virtuelles et de leur classification dans les contextes juridique et économique.

Cryptomonnaies et criminalité-Analyse des liens entre l’utilisation des cryptomonnaies et les activités illégales, notamment la fraude et le blanchiment d’argent.

Banque centrale du Nigéria-Analyse du rôle de la banque centrale du Nigéria dans la régulation des activités liées aux cryptomonnaies.

Plateforme d’échange de cryptomonnaies-Analyse des mécanismes opérationnels des plateformes d’échange et de leur influence sur la légalité des cryptomonnaies.

Binance-Étude de cas de Binance, l’une des plus grandes plateformes d’échange de cryptomonnaies au monde, et de ses défis réglementaires.

Traçage des cryptomonnaies-Présentation des outils et méthodes de suivi des transactions de cryptomonnaies et de leurs implications juridiques.

MMM Global-Analyse approfondie du tristement célèbre système MMM Global et de ses conséquences juridiques, mettant en évidence les risques encourus.

ICO-Exploration des ICO et de leur environnement juridique au Nigéria et dans le monde.

Histoire du Bitcoin-Retrace les origines du Bitcoin et explique son impact révolutionnaire sur la finance et l’économie numérique.

Bitcoin-Se concentre sur le rôle du Bitcoin sur le marché des cryptomonnaies et son statut juridique dans différentes juridictions.

Sergei Mavrodi-Un regard sur le personnage controversé Sergei Mavrodi et son influence sur les escroqueries et la légalité des cryptomonnaies.

Économie du Bitcoin-Une analyse du modèle économique du Bitcoin, notamment de sa volatilité et de son utilisation comme réserve de valeur.

Cryptomonnaie-Explorez les différents types de cryptomonnaies et les défis juridiques auxquels elles sont confrontées au Nigéria et ailleurs.

Monnaie numérique-Étudie l’essor des monnaies numériques, notamment leur reconnaissance juridique et leur potentiel économique.

Bitconnect-Se concentre sur le système Bitconnect, son essor et son déclin, ainsi que ses implications juridiques pour les participants et les régulateurs.

Législation sur les monnaies virtuelles aux États-Unis-explore l'approche américaine en matière de législation sur les monnaies virtuelles et son impact mondial.

Quadriga (entreprise)-étude de cas sur l'effondrement de la plateforme d'échange Quadriga, examinant les failles juridiques et les leçons apprises.

• Langue: Français
• Éditeur: Un Milliard De Personnes Informées [French]
• Date de sortie: 22 avr. 2025

Aperçu du livre

Chapitre 1 :Crypto-monnaie au Nigeria

Une description de l'utilisation des cryptomonnaies, de l'acceptation sociale et du cadre réglementaire au Nigeria est fournie dans l'article intitulé « Cryptomonnaie ».  La population nigériane est l'un des utilisateurs les plus importants de crypto-monnaies au monde.

La Banque centrale du Nigeria a émis une ordonnance en 2017 ordonnant aux banques commerciales de s'abstenir de s'engager dans des transactions impliquant le bitcoin.

Un sondage mené en ligne en 2020 a révélé que 32 % des Nigérians qui ont participé à l'enquête utilisaient des cryptomonnaies.  Selon les prévisions concernant l'année 2020, le Nigeria se classe au troisième rang derrière les États-Unis et la Russie en termes de volume total de transactions en bitcoins, qui s'élève à 400 millions de dollars.  La paire Bitcoin/Naira est la paire la plus échangée, et Dash et Ripple sont deux crypto-monnaies supplémentaires qui sont populaires au Nigeria.

À tout le moins, à partir de la seconde moitié de l'année 2020, les crypto-monnaies au Nigeria sont un système qui fonctionne en parallèle avec le naira officiel, auquel la population générale continue d'attribuer une importance en tant que monnaie officielle.  Les crypto-monnaies, selon les conclusions des chercheurs de la Banque centrale du Nigeria, « peuvent avoir un effet positif en agissant comme un dispositif disciplinaire pour les banques centrales ». Cela contraste avec l'opinion traditionnelle selon laquelle les crypto-monnaies constituent une menace pour l'importance du Naira.  Il est possible que la concurrence monétaire réussisse à réduire l'inflation et à éliminer le type de manipulation des taux d'intérêt et des prix à laquelle les gouvernements ont toujours été enclins.  Cela fournit une justification partielle de l'argument de Hayek de 1976, dans lequel il plaidait pour l'élimination du monopole de l'État sur la monnaie comme moyen d'assurer la stabilité de la monnaie officielle. Au début, le bitcoin était considéré avec scepticisme et était lié à des systèmes de Ponzi tels que Bitconnect, OneCoin et Mavrodi Mudial Moneybox (MMM). Tous ces systèmes étaient affiliés à Bitcoin.  En raison du fait que le bitcoin était fréquemment utilisé par les victimes d'escrocs au Nigeria pour effectuer des paiements, le grand public n'a pas différencié le bitcoin de ces escroqueries dans son esprit. les escrocs étaient monnaie courante au Nigeria.

Par conséquent, c'est la Banque centrale nigériane, et non les marchés des changes, qui est l'entité responsable de déterminer le taux de change officiel du naira par rapport aux autres devises au Nigeria.  Le naira nigérian est généralement dévalué par rapport aux autres devises par la banque centrale.  Cette dévaluation est l'un des facteurs qui poussent les Nigérians à chercher d'autres opportunités afin de maintenir la valeur de l'argent qu'ils gagnent.  Une baisse de 24 % de la valeur du naira a été mise en œuvre par la Banque centrale du Nigeria en 2020.

Lorsque vous utilisez le système bancaire conventionnel, il est assez coûteux de transférer de l'argent depuis et vers le Nigeria. La crypto-monnaie offre une alternative aux frais excessifs auxquels sont confrontés le Nigeria. v.

À la suite du gel des comptes bancaires pour les activités liées aux cryptomonnaies, un nombre important de Nigérians ont déclaré qu'ils continueraient à utiliser les cryptomonnaies partout où ils le pouvaient et qu'ils passeraient à l'utilisation des transactions de pair à pair.  En raison du fait que les crypto-monnaies sont transférées du portefeuille décentralisé d'une personne à une autre, celles-ci contournent complètement le système bancaire conventionnel.

En raison de la participation de la population aux manifestations contre les violences policières contre l'épidémie de SRAS, les autorités ont fermé leurs comptes bancaires. Cela a conduit à une recrudescence de l'utilisation des monnaies numériques, le bitcoin étant le sujet tendance le plus populaire sur Twitter pendant les manifestations.

La capacité d'émettre de la monnaie légale du Nigeria, qui est légalement spécifiée comme étant le Naira, est accordée à la Banque centrale du Nigeria (CBN) par la loi de 2007 sur la Banque centrale du Nigeria, qui a été adoptée en 2007.  À la suite de cette législation, la Banque centrale du Nigeria (CBN) se voit accorder l'autorité exclusive d'émettre du naira et le pouvoir d'établir le taux de change du naira par rapport aux autres monnaies fiduciaires.  Par conséquent, il n'existe pas de cadre juridique qui traite des crypto-monnaies, et selon les lois actuellement en place, les crypto-monnaies ne peuvent pas être considérées comme de l'argent légal. En effet, les crypto-monnaies n'existaient pas au moment de la création des lois.

Le bitcoin est devenu un sujet d'intérêt en 2016, lorsque le Nigeria Deposit Insurance Panel (NDIC) et la Banque centrale du Nigeria (CBN) ont créé un panel pour enquêter sur la crypto-monnaie. Cela s'est produit à la suite de la fermeture de l'escroquerie à la Ponzi connue sous le nom de Mavrodi Mudial Moneybox (MMM), qui opérait au Nigeria à l'époque.  MMM avait précédemment déclaré qu'elle mettrait en œuvre Bitcoin.

La Nigerian Securities and Exchange Commission (SEC) a émis un avertissement en janvier 2017 indiquant qu'il n'existe aucune sauvegarde ou assurance contre les pertes financières impliquant des crypto-monnaies, et qu'aucune entreprise ou entité liée aux crypto-monnaies n'est reconnue ou autorisée. De plus, la SEC a déclaré qu'il n'existe aucune protection ou assurance contre les crypto-monnaies.  La Banque centrale du Nigeria (CBN) a donné des instructions aux banques, leur demandant de s'assurer qu'elles ne détiennent, n'effectuent pas de transactions ou n'utilisent pas de monnaies virtuelles de quelque manière que ce soit. De plus, les clients des banques qui sont des plateformes d'échange de monnaie virtuelle ont reçu pour instruction de s'assurer qu'elles ont mis en place des réglementations anti-blanchiment d'argent. S'ils ne le font pas, les clients ont reçu l'ordre de mettre fin à leur relation avec la banque et de signaler toute transaction suspecte à la Cellule de renseignement financier du Nigéria.

La Banque centrale du Nigeria (CBN) a décidé en 2017 d'interdire aux banques d'aider les transactions liées aux crypto-monnaies ; Cependant, cette interdiction n'a pas été strictement appliquée.  En outre, la Banque centrale du Nigeria (CBN) et la Securities and Exchange Commission (SEC) ont tenté d'interdire l'utilisation des crypto-monnaies, mais sans succès.

Selon les membres du département de recherche de la Banque centrale du Nigeria, les avertissements émis par la CBN et la SEC visent principalement à éduquer le peuple nigérian sur les crypto-monnaies et à s'assurer qu'il est conscient du fait que les crypto-monnaies ne sont pas garanties par l'État, contrairement au naira qui est émis par la CBN.  qui est garanti par l'État.

Dans une déclaration publiée le 7 février 2021, la Banque centrale du Nigeria (CBN) a souligné la nécessité de protéger le grand public contre les dangers posés par les entreprises non contrôlées qui ont le potentiel d'être des zones d'opérations criminelles.

Il a été allégué que des comptes bancaires saisis en 2021 par des Nigérians en raison de leur implication dans des activités impliquant des transactions en ligne en crypto-monnaies.

Au Nigeria, les entreprises associées aux crypto-monnaies ne sont pas interdites.  Contrairement à d'autres pays, où l'utilisation des crypto-monnaies est interdite, le statut juridique des crypto-monnaies au Nigeria n'est pas clair.

La société CoinGecko, qui surveille les prix des crypto-monnaies, a mené une étude qui a révélé que le Nigeria s'est intéressé davantage aux crypto-monnaies que tout autre pays d'Afrique.  Dans l'étude qui a analysé les données de Google Trends pour six recherches différentes, telles que « acheter de la crypto-monnaie » ou « investir dans la crypto-monnaie », le Nigeria a reçu un score de 371.

Un nouveau cadre réglementaire a été annoncé par le gouvernement du Nigeria en mai 2024. L'objectif de ce cadre est de retirer le naira nigérian de la liste des crypto-monnaies qui sont échangées sur des bourses peer-to-peer.

De plus, des chercheurs de la Banque centrale du Nigeria (CBN) affirment que les crypto-monnaies peuvent avoir un impact favorable sur les secteurs de l'agriculture et de l'éducation au Nigeria. Cela s'ajoute à l'examen de l'impact que les crypto-monnaies peuvent avoir sur la politique monétaire et fiscale.  Il a été suggéré que les blockchains ont un grand potentiel pour améliorer l'accès au financement dans le secteur agricole. Cela pourrait être accompli en intégrant la technologie à leur modèle d'affaires, ce qui leur permettrait de répondre aux préoccupations concernant la sécurité alimentaire.  En raison du fait qu'il y a beaucoup à apprendre sur les crypto-monnaies, ceux qui travaillent dans le secteur de l'éducation les considèrent comme une opportunité. Ils pensent que l'introduction du bitcoin dans l'éducation serait bénéfique pour le développement global du pays.

{Fin du chapitre 1}

Chapitre 2 :Naira nigérian

Le naira, qui est représenté par le symbole ₦ et le code NGN, est la monnaie utilisée au Nigeria. Il est également connu sous le nom de Yoruba náírà, de Hausa náírà, de naira romanisé, d'Igbo naịra et de Tyap nera.  Il y a cent kobo pour chaque naira.

La Banque centrale du Nigeria (CBN) est la seule institution de la République fédérale du Nigeria qui est autorisée à émettre de la monnaie considérée comme ayant cours légal.  Il est chargé de réguler la quantité d'argent qui circule dans l'économie afin de maintenir la stabilité monétaire et des prix.  La gestion des devises est sous la responsabilité du Département des opérations monétaires de la Banque centrale du Nigeria (CBN). Ce service est responsable de la conception, de l'approvisionnement, de la distribution et de l'approvisionnement, du traitement, de la réémission et de l'élimination ou de la désintégration subséquentes des billets de banque et des pièces.

Il y a eu une importante pénurie de liquidités en février 2023 à la suite de la tentative du gouvernement nigérian de forcer les Nigérians à adopter une nouvelle monnaie numérique de banque centrale parrainée par le gouvernement. Pour ce faire, on a eu recours à un changement de monnaie, ce qui a fait en sorte qu'un nombre insuffisant de nouveaux billets ont été mis en circulation.  En conséquence, les manifestations de rue se sont généralisées.

Conformément au gouvernement, l'histoire de la monnaie.

Le premier janvier 1973, la livre nigériane a été remplacée par le naira, qui a été lancé à un taux d'une livre à deux nairas.  Les pièces de la nouvelle monnaie ont été les premières pièces à être créées par un Nigeria indépendant. En effet, le gouvernement colonial de la Fédération du Nigeria a frappé toutes les pièces de la livre nigériane qui étaient en circulation en 1959. Le nom de la reine Elizabeth II est imprimé sur l'avers de chaque pièce.  De plus, à la suite de cela, le Nigeria est devenu le tout dernier pays au monde à passer de l'utilisation du système monétaire de la livre sterling à l'utilisation du système de monnaie décimale.  Il était initialement prévu que le gouvernement redénomine le naira à un taux de 100:1 en 2008, mais la proposition a finalement été abandonnée.  U+20A6 ₦ NAIRA SIGN est considéré comme le signe de l'argent.

Awolowo Obafemi a inventé le terme « Naira » en combinant le mot « Nigeria » avec le mot « Naira ».  Shehu Shagari, qui était ministre des Finances à l'époque, est celui qui a introduit le naira comme monnaie en 1973.

La Banque centrale du Nigeria a déclaré qu'elle s'était efforcée de maintenir le taux d'inflation annuel en dessous de 10 %.  En 2011, la Banque centrale du Nigeria (CBN) a relevé le taux d'intérêt directeur à six reprises, qui est passé de 6,25 % à 12 %.  En raison de la réduction des subventions à l'essence, la Banque centrale du Nigeria (CBN) a pris la décision le 31 janvier 2012 de maintenir le taux d'intérêt directeur à 12 %. Cette décision a été prise afin d'atténuer l'impact de l'inflation.

Après une période de plusieurs mois au cours de laquelle le naira a été fixé à 197 livres sterling pour 1 dollar américain, la monnaie a finalement été autorisée à flotter le 20 juin 2016.  Il y avait une spéculation dans la communauté commerciale selon laquelle la fourchette naturelle du naira se situerait entre 280 et 350 livres sterling pour un dollar.

Au Nigeria, le président Muhammadu Buhari a officiellement introduit l'eNaira, qui est l'équivalent numérique de la monnaie officielle du pays, au mois d'octobre 2021.

La crise de la monnaie nigériane en 2023 a été provoquée par une pénurie de naira en janvier 2023. Cela s'est produit au milieu d'une tentative du gouvernement nigérian d'obliger les citoyens à utiliser des billets fraîchement conçus. Le gouvernement a affirmé que cela contribuerait à mettre fin au flux d'achats de voix à l'approche des élections législatives de 2023.  Il en a résulté de vastes manifestations dans les rues au cours des mois de janvier et février 2023.  Après un certain temps, la Cour suprême du pays a déclaré illégale l'affirmation de l'administration selon laquelle les billets précédents avaient cessé d'être de la monnaie légale.

Le 14 juin 2023, le naira a connu une dépréciation de 23 % en une seule journée, atteignant un taux de 600 à 1 dollar américain. Cela s'est produit après que la banque centrale a décidé d'abandonner son ancrage et de permettre au naira de s'échanger librement.  Le naira a atteint un nouveau plus bas record le 19 juillet 2023, lorsqu'il a atteint 853 ₦ pour un dollar américain.

Du 1er février 2024 au 5 février 2024, la monnaie a encore baissé de plus de cinquante pour cent, passant de 898 NGN à 1 400 NGN. Au 30 juillet 2024, la monnaie était descendue à 1 600 NGN.

Cette source contient des informations sur la banque centrale nigériane à partir de l'année 2022 :

Les pièces ont été lancées pour la première fois en 1973 avec des valeurs de 1⁄2, 1, 5, 10 et 25 kobo. Les pièces de 1⁄2 et 1 kobo étaient en bronze, tandis que les dénominations supérieures étaient en cupro-nickel en fonction de la composition métallique.  Les pièces de 1⁄2 kobo n'ont été produites que cette année-là.  L'année 1991 a vu l'émission de pièces en acier cuivré de petites coupures, notamment de 1, 10 et 25 kobo, ainsi que de pièces en acier nickelé de 50 kobo et 1 ₦.  Le 28 février de l'année 2007, de nouvelles pièces de 50 kobo, 1 et 2 kobo ont été introduites. Les pièces de 1 et 2 étaient de nature bimétallique.  Certaines personnes au Nigeria ont exprimé leurs inquiétudes concernant l'utilité de la pièce de 2 ₦.  Le 31 mai 2007, la date limite pour l'échange de la monnaie précédente a été fixée.  La banque centrale a annoncé que les pièces allant de 1⁄2 à 25 kobo ont été retirées de la circulation, à compter du 28 février de l'année