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LE CHEMIN DIRECT VERS LA GUERISON: Énergie, lumière et information
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LE CHEMIN DIRECT VERS LA GUERISON: Énergie, lumière et information
Livre électronique208 pages3 heures

LE CHEMIN DIRECT VERS LA GUERISON: Énergie, lumière et information

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À propos de ce livre électronique

Si vous cherchez pour vous-même ou un être cher une guérison physique, émotionnelle, mentale ou spirituelle, ce livre, Le chemin direct vers la guérison, est là pour vous !

Écrit par le guérisseur, auteur et chiropraticien réputé Eric Pearl, en collaboration avec sa collègue, Jillian Fleer, conférencière et formatrice, ce livre, qui s’appuie sur la science à l’état pur, une physique quantique accessible et la perception de notre réalité non duelle, vous fera bénéficier d’une expérience de guérison à la fois intime et intégrale. Les exercices faciles et agréables qui clôturent chaque chapitre feront de vous l’initiateur ultime des changements subtils et mémorables qui marqueront votre vie et celle des autres tout en vous épargnant les pratiques chronophages ou les méthodes compliquées. Sa simplicité vous étonnera. Ce chemin direct vers la guérison vous offre les clés dont vous avez besoin pour comprendre le secret le mieux gardé qui soit : vous-même, heureux, aimant, en santé et guéri !

Les auteurs ont donné des ateliers, des séminaires et développé des programmes de formation très concluants dans plus de 100 pays, et révolutionné la vie de dizaines de milliers d’individus dans le monde grâce à l’expérience de guérison par la reconnexion. C’est maintenant à votre tour ! Voici votre invitation à être profondément vous-même.
LangueFrançais
Date de sortie23 févr. 2024
ISBN9782896266234
LE CHEMIN DIRECT VERS LA GUERISON: Énergie, lumière et information
Auteur

Eric Pearl

Eric Pearl a mis fin à ses activités de chiropraticien à Los Angeles lorsque des guérisons miraculeuses se produisirent lors de ses traitements. En étendant simplement ses mains près d’eux, il constata que certains de ses patients guérissaient de graves maladies comme des tumeurs malignes et le syndrome de fatigue chronique. Depuis, Eric se consacre à diffuser les informations propres au processus de guérison par la « reconnexion » dans le cadre de conférences et d’ateliers. Eric Pearl a également participé à de nombreuses émissions télévisées aux États-Unis.

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    Aperçu du livre

    LE CHEMIN DIRECT VERS LA GUERISON - Eric Pearl

    CHAPITRE 1

    LE DON DE GUÉRISSEUR

    «Nous faisons partie intégrante du monde que nous

    percevons; nous n’en sommes pas des observateurs externes.

    Nous sommes à l’intérieur de ce monde.

    Nous le voyons de l’intérieur. Nous sommes faits

    des mêmes atomes et des mêmes signaux lumineux

    qui circulent entre les pins dans les montagnes

    et les étoiles dans les galaxies.»

    Carlo Rovelli

    Et puis, Jered est venu…

    Les présents d’anniversaire, les étrennes et les cadeaux de noces sont le plus souvent des surprises. C’est pourquoi on les emballe avant de les offrir. Soyons réalistes: le plaisir est à son comble quand on déballe le cadeau, qu’on en enlève délicatement le papier pour ne pas l’abîmer (même si, entre vous et moi, on ne le réutilisera jamais), ou bien qu’on en arrache férocement les rubans et qu’on en déchire le papier comme si les autres présents qu’on n’a pas encore ouverts risquaient de disparaître si on ne dépaquetait pas celui-ci assez vite! Les guérisons sont aussi des surprises. Le papier d’emballage ne provient pas d’un grand magasin et le contenu de la boîte ne figure pas sur un registre, mais le cadeau se révèle en son temps et à son heure. Vous ne pouvez pas précipiter les choses et vous n’avez aucune idée de ce que renferme la boîte. Parfois, vous ne comprenez même pas comment elle a pu contenir ce cadeau!

    C’est ce qui s’est passé avec Jered… Jered n’avait que quatre ans quand sa mère me l’a amené. Ses attelles de genoux ne le supportaient plus, ses yeux regardaient dans deux directions à la fois, il ne pouvait concentrer son regard sur rien et aucun mot ne sortait plus de sa bouche… qui laissait échapper un flot continu de salive. La lumière intérieure de Jered avait été réduite à une expression vide où l’être merveilleux qui résidait en lui n’était plus qu’une faible lueur.

    Son cerveau perdait depuis quelque temps la membrane de myéline qui transmet les influx nerveux, avec pour conséquence que Jered faisait une cinquantaine de crises d’épilepsie chaque jour, jusqu’à ce que des médicaments ramènent ce nombre à environ seize.

    Tandis que, couché sur la table, il était presque dénué de toute expression, sa mère me dit avoir été depuis un an le témoin impuissant de la détérioration rapide de son état. Au moment de sa première consultation à mon cabinet, son enfant n’était plus celui qu’elle avait connu; elle ne pouvait le décrire autrement que comme «une amibe».

    Durant cette première séance, chaque fois que ma main s’approchait du côté gauche de sa tête, Jered ressentait sa présence et cherchait à s’en emparer. «Regardez! Il sait où est votre main. Il la cherche. Il ne fait jamais ça», fit remarquer sa mère, surprise et pleine d’espoir. Elle inspira profondément avant d’ajouter: «C’est justement à cet endroit qu’il n’y a plus de myéline.» À la fin de la séance, Jered était si agité que sa mère dut l’asseoir sur la table et lui tenir doucement les mains en lui chantant des chansons enfantines pour l’apaiser comme seule sait le faire une mère. Leur chanson préférée était Brille, brille, petite étoile. Dès la première séance, les violentes convulsions de Jered cessèrent. Complètement.

    À sa deuxième séance, Jered agrippa les poignées de porte et les fit tourner. Sa vision était meilleure; il parvenait à se concentrer sur un objet. En sortant de mon cabinet, il indiqua un arrangement floral à la réception. «Fleurs», dit-il en souriant. Tout le monde versa une larme.

    Ce soir-là, Jered fut surpris en train de réciter les lettres de l’alphabet en même temps que l’hôte d’une émission-débat qui participait à un jeu télévisé. Avant de s’endormir, ce chérubin naguère muet leva les yeux sur sa mère et demanda: «Maman, chante-moi une chanson.» Cinq semaines plus tard, Jered était de retour à l’école. Dans la cour de récréation. Il attrapait des balles.

    – Extrait revu d’un récit qu’Eric a écrit

    pour un livre intitulé

    Hot Chocolate for the Mystical Soul,

    compilé par Arielle Ford

    Quand on est invité dans l’expérience de guérison par la reconnexion en tant que catalyseur, le cadeau, c’est l’observation de la chose elle-même, la disparition de l’altérité, la découverte de l’amour infini et éternel que nous sommes. Et, de temps à autre, l’occasion qui nous est donnée de chanter Brille, brille, petite étoile en plein après-midi est aussi un cadeau.

    La société actuelle semble percevoir la guérison comme une stigmatisation, surtout en ce qui a trait à ceux que nous appelons des guérisseurs et au pouvoir que nous leur concédons plus ou moins consciemment. Le pouvoir que nous leur donnons est notre propre pouvoir intrinsèque. Souvent, quand on entend dire qu’Untel est un guérisseur, on suppose d’emblée qu’il possède des caractéristiques particulières tout à fait extraordinaires ou que Dieu l’a spécifiquement doté de pouvoirs surnaturels.

    Voir les choses sous cet angle ouvre systématiquement la voie à une perception illusoire qui ferait du guérisseur quelque chose ou quelqu’un de «supérieur» à nos yeux en rapetissant du même coup notre valeur personnelle. Cela ne sert qu’à créer un abîme hallucinant entre Dieu et nous, ou, pour les plus agnostiques, ce que les philosophes et les théologiens, d’Aristote à Emmanuel Kant en passant par saint Thomas d’Aquin, appellent la «Cause première».

    L’histoire de l’humanité est celle de l’évolution des idées, et les idées existent à l’intersection de la conscience et du monde extérieur. Une des premières idées qu’ont eue nos lointains ancêtres est qu’ils étaient plus qu’un corps et qu’à la mort, au moment de la décorporation, ils devenaient des esprits capables d’habiter toute chose, qu’il s’agisse d’objets, de lieux ou de créatures. Cette croyance est l’animisme, l’attribution d’une essence spirituelle, d’une «âme» à toute chose et à toute créature, humaine ou autre. Le terme «animisme» est dérivé de la racine latine anima, qui signifie littéralement «souffle, esprit et vie». Selon certains érudits, l’animisme serait la plus ancienne expression humaine de ce que l’on pourrait qualifier de religion.

    En 1989, un site appelé Ohalo II a été découvert en Israël au sudouest de la mer de Galilée, sur le lac de Kinneret, près de la ville de Tibériade. On y a trouvé des preuves qu’il y a quelque 23 000 ans, des humains, troquant leurs lances pour des socs, de cueilleurs sont devenus fermiers. Cette transition a eu pour conséquence certaines des plus grandes avancées de l’histoire de l’humanité. Avec la naissance d’une civilisation fondée sur l’agriculture, ce qui englobe la domestication des animaux, le genre humain s’est détaché de la notion de l’interconnectivité de tout. Au lieu de faire partie inhérente de la Terre, il a aspiré à régner sur elle. Dès que la société sédentaire s’est substituée au nomadisme, les religions organisées ont commencé à voir le jour.

    Créées à l’origine pour nous aider à comprendre la place que nous occupons dans le monde et dans l’Univers, ces religions ont parfois instauré des hiérarchies en tant qu’instruments de pouvoir. Ainsi, après des millénaires, la notion d’animisme, selon laquelle il n’y a aucune différence entre le monde spirituel et le monde matériel, a cédé la place à la notion d’un Dieu distinct et extérieur à nous.

    Alors que la société se restructurait et qu’on assistait à l’émergence de hiérarchies, comment le commun des mortels pouvait-il accéder à Dieu? Pour y accéder plus facilement, il devait s’en remettre au prêtre, à la prêtresse, au chamane, au saint homme ou à la sainte femme.

    Les idées humaines évoluent, se réorganisent et se modernisent en fonction des découvertes scientifiques, et il en va de même pour de nombreuses religions. Avec l’émergence de la physique quantique et d’autres découvertes prouvant que nous sommes tous interreliés par le truchement d’un champ d’information, la notion d’un Dieu distinct de nous est soudain devenue tout à fait archaïque. À sa place, la croyance voulant que Dieu soit en nous et que nous soyons Dieu est de plus en plus valorisée.

    Incidemment, puisque «Dieu» est pour certaines personnes un terme porteur de division, sentez-vous libre de le remplacer par la «Source», l’«Énergie», le «Champ unifié», par «baklava», «tulipe», «lute-fisk¹» ou tout ce que vous voudrez. Essentiellement, «Dieu» est un mot qui se substitue à Ce qui est, et c’est la raison pour laquelle il est si difficile de comprendre pourquoi les humains continuent de se faire la guerre en Son nom.

    Que vous pratiquiez ou non une religion n’entre pas en ligne de compte; que vous croyiez en Dieu ou que vous soyez athée n’entre pas davantage en ligne de compte. L’important, c’est qu’au moment où l’humanité redécouvre la notion selon laquelle nous ne sommes pas distincts de Dieu, nous délaissons aussi l’idée voulant que seul un individu spécifiquement désigné comme un guérisseur – un individu doté d’une vertu unique, rare ou spéciale – puisse accomplir une guérison.

    Selon la nouvelle façon de penser, l’état de guérisseur et la guérison elle-même ne sont pas distincts de nous. Nous sommes à la fois guérisseurs et guérison. Étant cela, nous guérissons non seulement les autres, mais aussi nous-mêmes et, ce faisant, nous guérissons le monde. Étant cela, nous attirons à nous la lumière, nous l’attirons vers les autres et vers le monde. Ainsi, chacun est unique et personne ne l’est! Nous pouvons reconnaître le surnaturel pour ce qu’il est depuis toujours: sur-naturel, soit au-dessus du naturel. Nous pouvons aussi reconnaître l’extraordinaire pour ce qu’il est depuis toujours: extra-ordinaire, soit hors de l’ordinaire. Et nous pouvons enfin tous revenir sur Terre.

    Chacun est unique et personne ne l’est

    La guérison par la reconnexion n’est pas une religion et n’est associée à aucune religion. Elle les respecte toutes et reconnaît que les textes sacrés des nombreuses voies spirituelles du monde recèlent de grandes vérités. Par exemple, selon la version du Nouveau Testament que vous référencez, dans l’Évangile selon saint Jean, chap. 14, verset 12, Jésus dit: «Amen, amen, je vous le dis: celui qui croit en moi fera les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes […].» Ou «En vérité, en vérité, je vous le dis: celui qui croit en moi fera, lui aussi, les œuvres que moi je fais, et il en fera de plus grandes que celles-ci […].» Ou encore: «Vraiment, je vous l’assure: celui qui croit en moi accomplira lui-même les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes […].» Et ainsi de suite. Pratiquement chaque version traduit le même enseignement. Cet énoncé est un défi difficile à accepter pour bon nombre de gens. Si vous n’êtes pas déjà intimidé à la pensée de faire les œuvres de Jésus, beaucoup s’efforceraient de vous en dissuader. Le plus souvent au nom même de celui qui a prononcé ces paroles – Jésus! Rares sont ceux qui comprennent que nous sommes beaucoup plus puissants que nous ne l’imaginons.

    Marianne Williamson, un des grands maîtres spirituels de notre temps, le formule comme suit: «Ce qui nous fait le plus peur n’est pas de ne pas être à la hauteur. C’est d’être immensément puissants. C’est notre lumière, non pas notre obscurité, qui nous effraie le plus.»

    Ce qui effraie certaines personnes, parfois au point de les empêcher d’explorer le sens profond de ces enseignements, c’est justement le fait qu’elles sont peut-être dotées de cette immense puissance, comme nous le disent Marianne et d’autres. Ce sont souvent les mêmes qui, voyant que vous réalisez tout votre potentiel, ne se sentent pas à la hauteur parce qu’elles ne réalisent pas le leur et craignent de ne jamais y parvenir. C’est le prix à payer pour ceux qui vivent dans la comparaison et le jugement. Au lieu d’accepter de prendre des risques pour atteindre le succès, ils dénigrent ceux qui réussissent et jettent sur eux le discrédit. Cette lâcheté et cette tyrannie passives-agressives – parfois carrément agressives – et fondées sur la peur constituent ce qu’on appelle le syndrome du grand coquelicot que l’on peut résumer ainsi: ne soyez pas le coquelicot qui pousse plus haut que les autres si vous ne voulez pas qu’ils vous coupent la tête pour vous rabaisser au même niveau qu’eux. Nous sommes mis au défi de surmonter la peur pour vivre dans l’amour –pour vivre dans la lumière, non dans l’obscurité. À vrai dire, cela revient à une question de mérite personnel.

    L’expérience de guérison par la reconnexion nous met tous sur un pied d’égalité; chacun reçoit la capacité de guérir, chacun est consacré, doté de ce pouvoir, chacun peut être un coquelicot qui pousse aussi haut qu’il le souhaite. Telle est la vraie nature de la guérison. À défaut de cela, elle n’est que pure affectation. Car la gué-rison n’est pas extérieure à nous, elle est en nous, et quand nous acceptons d’en être les catalyseurs, nous devenons la guérison. Le guérisseur en nous est la part authentique de notre nature qui à la fois précède et succède à notre humanité concrète. En d’autres termes, nous avons tous le pouvoir de guérir, même si ce n’est pas tant un pouvoir qu’un droit inaliénable de notre véritable essence et de notre véritable évolution.

    Il y a changement de paradigme: nous n’allons pas vers l’intégrité, nous sommes déjà l’intégrité, et les guérisons ont lieu dans cet éveil et cette acuité. Il nous suffit d’y entrer. Nous avions sans doute dévié de cette vérité essentielle, mais à ce moment-ci de notre histoire il est temps de nous réapproprier cette certitude intérieure. Puisqu’il n’y a ni hiérarchie ni «heureux élu» dans la guérison par la reconnexion, tout se résume à notre valeur personnelle et à l’ensemble de nos choix de vie, dont chacun exige à des degrés divers que nous répondions de nos actes.

    L’évolution de l’humanité réside dans notre volonté de répondre de nos actes en tant que guérisseurs de nous-mêmes, des autres et de la planète. Vous aurez remarqué la nuance: répondre de nos actes, non pas en être responsable. Il y a une importante distinction à faire entre ces deux réalités. Ce qui les différencie surtout, c’est que la responsabilité peut être collective, tandis que chacun répond individuell ement de ses actes. Répondre de ses actes, c’est assumer une chose et devoir en rendre compte. Autrement dit, une vie vécue en sachant quelle est votre vraie nature est un don dont vous devez répondre, et le fait de répondre de votre vie et de votre bien-être vous oblige à répondre de la vie et du bien-être de tous. Voilà le don de la véritable intégrité, de la guérison et de la croissance personnelle.

    Lorsque vous pensez à quelque chose, demandez-vous attentivement d’où vous vient cette idée. Vous constaterez que les idées qui entrent dans la conscience immédiate ne viennent pas du dehors. Il n’y a pas de dehors. Pas de limites ni de frontières. Il n’y a que la totalité de qui nous sommes, la conscience de la source manifestée dans une incarnation physique. Certaines personnes sont toute leur vie l’incarnation d’un guérisseur. Elles doivent répondre de tous les aspects de leur vie, reconnaître que celle-ci est un don et une évolution, que l’expérience est une carte routière, qu’elles font bouger les choses, que leurs choix actuels ouvrent la voie à l’avenir et que leur présence seule fait d’elles des guérisseurs. D’autres ne répondent même pas de leur existence. Elles n’admettent pas, n’ont même pas la présence d’esprit de comprendre que les circonstances de leur vie font partie intégrante d’une chaîne d’interactions beaucoup plus étendue. Elles recherchent au dehors de quoi combler un

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