Il va l'avoir: William veut Jesse plus que tout au monde

Par Ashley Colem

William s'est évadé de prison pour prouver son innocence, mais avant de pouvoir le faire, il a besoin d'un endroit sûr où se cacher. Lorsqu'une femme rondelette se dirige vers sa voiture dans une partie isolée d'un parking, il voit l'opportunité parfaite. La tenant sous la menace d'une arme, il oblige cette femme à l'emmener chez lui.

Ce n'est pas la première fois que Jesse est détenue sous la menace d'une arme, et elle n'a pas vraiment peur de William. Il y a quelque chose dans ses yeux qui lui fait comprendre qu'il ne va pas lui faire de mal, ce qui est fou – et c'est ce qui lui fait peur.

C'est le premier homme qu'elle désire, mais elle doit lui résister. Il n'y a pas de place pour l'amour dans la vie de Jesse.

• Langue: Français
• Éditeur: Ritchy Savin
• Date de sortie: 14 nov. 2023
• ISBN: 9798223485599

Aperçu du livre

William s'est évadé de prison pour prouver son innocence, mais avant de pouvoir le faire, il a besoin d'un endroit sûr où se cacher. Lorsqu’une femme rondelette se dirige vers sa voiture dans une partie isolée d’un parking, il voit l’opportunité parfaite. La tenant sous la menace d'une arme, il oblige cette femme à l'emmener chez lui.

Ce n’est pas la première fois que Jesse est détenue sous la menace d’une arme, et elle n’a pas vraiment peur de William. Il y a quelque chose dans ses yeux qui lui fait comprendre qu’il ne va pas lui faire de mal, ce qui est fou – et c’est ce qui lui fait peur.

C’est le premier homme qu’elle désire, mais elle doit lui résister. Il n’y a pas de place pour l’amour dans la vie de Jesse.

William veut Jesse plus que tout au monde, et il va l’avoir. Apprendre les abus qu’elle a subis dans le passé ne lui fait pas la voir différemment. Il sait juste qu'elle mérite un homme sans qu'un nuage noir ne pèse sur sa tête.

Il va blanchir son nom, mais que se passera-t-il après ? Va-t-il revenir en arrière et revendiquer Jesse comme sienne, ou va-t-il la laisser partir ?

​Chapitre 1

William enroula son bras autour de la femme bien roulée et sentit ses fesses contre sa bite. Bon sang, ce n'était pas censé lui faire penser au sexe, ni la prendre à rude épreuve. Il n’avait pas eu de femme depuis très longtemps, mais le fait d’être incarcéré pour meurtre lui permettrait d’atteindre cet objectif. La seule preuve qui aurait pu le sauver avait été détruite, ou du moins les hommes qui l'avaient piégé le pensaient. Tout le monde avait travaillé contre lui, et il avait été bien trop stupide pour faire confiance à ceux qu’il pensait être là pour l’aider.

«S'il vous plaît, ne me tuez pas», dit-elle.

Même sa voix lui paraissait si douce. Il avait toujours adoré les courbes, et cette femme était si douce et baisable. Elle était la clé de sa fuite. Il ne pouvait pas rester ici et il espérait qu’elle vivait loin des flics. Personne ne leur avait prêté la moindre attention jusqu'à présent, et c'était exactement comme ça qu'il voulait que ça reste.

Faites ce que je dis et n'essayez rien de drôle, et je ne vous tuerai pas. Pour le moment, c'était la dernière chose qu'il voulait faire. Sa bite était vraiment heureuse d'être à côté d'elle.

O-d'accord.

« Bien, pose les courses et je veux que tu prennes le volant. Ne faites pas un seul bruit et ne faites même pas savoir à qui que ce soit que vous êtes contrarié. Je vais te tuer avant même que quiconque vienne ici pour t’aider.

Elle hocha la tête.

Au compte de trois, il lui a dit de le faire.

Elle a placé le sac d'épicerie à l'arrière de sa voiture, abaissant le coffre. Il s'est dirigé vers le côté passager et ils sont montés ensemble dans le véhicule. Ses mains tremblaient alors qu'elle démarrait le moteur. En quittant la petite épicerie, il la regarda sourire à quelques passants et leur faire signe.

Veux-tu que je te conduise quelque part?

Où  habites-tu?

Elle se mordilla la lèvre et jeta un coup d'œil vers lui.

Agitant le pistolet devant son visage, il secoua la tête. Je n'ai pas toute la journée.

«J'habite près de la forêt.»

Seul?

Elle ouvrit la bouche, puis la referma.

«Je saurai si tu mens. Allez, petite fille, dis-moi. Vous vivez seul?"

Je ne suis pas une fille et oui, je vis seule. Elle lui lança un regard noir. « Veux-tu s'il te plaît poser cette foutue arme ? Cela ne me rend pas service pour le moment, et il n’y a personne à des kilomètres à la ronde.

Tu as un peu de gueule sur toi.

Ce n'est pas moi qui demande des faveurs ici.

Faites attention, dit-il.

Alors tue-moi, dit-elle.

Il y a juste une seconde, tu me disais de ne pas te tuer.

«Eh bien, maintenant j'ai changé d'avis. Nous nous dirigeons vers chez moi et je ne vais pas vous laisser me menacer ou pointer une arme sur moi. C'est dur."

Il la regarda, un peu choqué par son éclat soudain et sa colonne vertébrale.

Tu es fou.

« Tu n’es pas la première personne à me dire ça, et je suis presque sûr que tu ne seras pas la dernière. Être reconnaissants. La moitié des femmes de la ville auraient crié à mort si on leur montrait une arme à feu.

Cela l'a amené à la surveiller. Elle n’avait pas crié ni crié à l’aide. Son regard était écarquillé alors qu'elle le regardait.

Pourquoi tu ne l'as pas fait?

Tu n'es pas le premier gars à pointer une arme sur mon visage.

Il