l sera toujours temps, le 8 juillet, d’ouvrir le procès d’Emmanuel Macron. En considérant que ce président monarque a joué le sort de la démocratie française sur un coup de dés. Qu’il a, en accélérant le calendrier, ouvert les portes du pouvoir à l’extrême droite. Ou au contraire, on lui sera reconnaissant, anniversaire du débarquement en Normandie, qui permit l’anéantissement de l’Allemagne nazie, les Français retournent voter. Avec trois choix.
