Pour se (re)mettre en mouvement, on peut commencer par mettre un pied devant l’autre ou appuyer sur la pédale. Les beaux jours s’y prêtent, avec leurs longs week-ends et leurs périodes de vacances, et ces deux activités sont accessibles à (presque) tou·tes, sans prérequis d'âge ou de niveau. On peut varier le rythme facilement en fonction de ses objectifs. C’est aussi l’occasion de voir du paysage et de se vider la tête avec des pratiques écolo-compatibles. « La marche n’a aucun impact environnemental, elle ne nécessite aucun équipement sauf de bonnes chaussures. Le vélo, lui, a un impact très faible – la production du matériel –, et reste une option écologique », remarque Valérie Orsoni, coach sportive et nutrition (1). Alors, on choisit quoi?
LES ATOUTS COMMUNS : FAIRE DU SPORT SANS EN AVOIR L’AIR
’ assure Christophe Bays, nutritionniste et entraîneur sportif à la clinique. La rando, à pied ou à vélo, s’inscrit dans cette approche bien-être de l’activité physique, qui nous permet de bouger sans tomber dans la compétition ni la performance. rappelle le coach. Le problème de notre époque est d’avoir oublié que notre corps était fait pour se mouvoir régulièrement. Or, on cherche à compenser une trop grande sédentarité par des séances de gym.