DE LA TERRE À LA LUNE

C’est sûr, , commence l’article. Cette colonisation est imaginée en plusieurs phases. Une première appelée “découverte et conquête” verrait la construction d’une base pour l’exploration provisoire afin de . Une base semi-permanente arriverait, dans un deuxième temps, permettant l’installation d’une colonie permanente (le corps se serait, entretemps, habitué à l’atmosphère sélène). On y trouverait [d’hydrogène dans un premier temps, puis nucléaire, ndlr] dont le traitement des déchets, explique l’article. Et pour se protéger des radiations et des météorites, une base semi-enterrée ferait l’affaire. Mais comment assurer la survie de ces nouveaux habitants ? En régénérant et en récupérant l’eau du métabolisme et l’oxygène produit par le gaz carbonique expiré. Ainsi , tandis qu’on pourrait récupérer 0,40 kg d’eau par homme et par jour. Suffisant pour les besoins du métabolisme, selon l’expert. Sans compter les expérimentations déjà réalisées par la Nasa pour développer une culture d’algues fournissant oxygène et alimentation. S’il a tout prévu, Wendell Johnson conclut avec cette réflexion :