e film en film, en bon architecte, comme son père, Amos Gitaï s’accroche à une ligne ténue. Sans doute tente-t-il ainsi de nous expliquer, et parfois de s’expliquer, l’existence et les ressorts d’Israël, jeune pays inventé par et pour une diaspora juive, lasse de fuir d’éternels pogroms, sur une terre sainte que d’autres revendiquent. « Shikun » n’échappe pas à ce questionnement sagace que
AMOS GITAÏ GARDIEN DE L’ESPOIR
Mar 07, 2024
2 minutes
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