Tout commence en mars 2022, lorsque le ministre de l’Intérieur lâche le mot « autonomie » dans l’espoir de calmer la colère après le meurtre, en prison, d’Yvan Colonna par un islamiste. Cette situation pré-insurrectionnelle venait de décrocher ce que trois votes successifs n’avaient pas réussi à obtenir. Le président du Conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, très largement élu sur cette promesse d’autonomie, n’avait plus qu’à tenter de reprendre la main : à l’époque, il est seul à signer, avec Gérald Darmanin, le document
La Corse rêve (toujours) d’autonomie
Mar 03, 2024
3 minutes
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