’un côté, l’armée de l’empereur byzantin Héraclius, usée par les guerres qui l’opposent depuis des décennies aux Perses sassanides de l’actuel Iran ; de l’autre, les troupes du général arabe Khaled, galvanisées par leur désir d’expansion territoriale. La scène se passe en 636, quatre ans après la date présumée de la mort du prophète Mahomet. Quelques jours plus tard, les tribus arabes, unies sous la bannière du calife de Médine, remportent la victoire de Yarmouk, dans l’actuelle Jordanie. Elle leur ouvre les portes de Jérusalem, d’où Héraclius a extrait de justesse une partie de la croix du Saint-Sépulcre pour la mettre à l’abri, dans sa capitale de Constantinople… , exhorte l’historienne et professeur émérite en études arabes Jacqueline Chabbi dans Si l’on en croit la tradition musulmane, le calife Omar, deuxième successeur de Mahomet, vient en personne recevoir la reddition des habitants. appuie l’historien Vincent Lemire dans
LE CORAN S’IMPOSE EN PALESTINE
Feb 07, 2024
5 minutes
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