Les Cahiers de Science & Vie

NÉO-IMPRESSIONNISTES, THÉORISER LA COULEUR

Paul Signac dit être resté sous le choc quand il a découvert la peinture de Monet, lors de la quatrième exposition impressionniste de 1879 et son exposition monographique l’année suivante. Séduit, le jeune peintre qui araconte Charlotte Hellman, arrière-petite-fille de l’artiste et responsable des Archives Signac à Paris. Si l’artiste, qui, plus tard, théorisera le pointillisme avec Georges Seurat, accepte le qualificatif de « néo-impressionniste», que leur attribuera le critique Félix Fénéon, c’est que leur mouvement s’inscrit, au départ, dans le droit fil de leurs aînés.

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