Le choix de nommer Gabriel Attal à Matignon est arrêté depuis des semaines. Les très proches du président qui refont le film aujourd’hui l’ont découvert ces dernières heures, de la bouche d’Emmanuel Macron lui-même. L’idée d’un remaniement « de rupture » commence à germer fin novembre dans la tête du président, bien avant le psychodrame de la loi immigration. Face aux crises qui s’accumulent, l’avenir de l’Europe et de la France est à un moment de bascule, s’inquiète Emmanuel Macron, les valeurs culturelles et politiques des démocraties occidentales n’ayant jamais été autant attaquées. Alerte supplémentaire, le Rassemblement national, depuis un an et demi, s’installe peu à peu dans l’opinion comme le seul capable de protéger la nation, face à des Républicains illisibles et à une gauche dominée par le bruit et la fureur, sa fermeté sur l’abaya, ce petit parfum de retour à la IIIeRépublique (voir page suivante), l’ont installé d’emblée dans l’opinion comme le promoteur de valeurs rassurantes et protectrices. , confirme un très proche du président,Et sans en parler à personne. Même pas à son cerveau droit Alexis Kohler, qui n’a pas du tout approuvé l’ensemble des choix du président.
Du 100 % Macron
Jan 14, 2024
5 minutes
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