FOOD
Quand elle raconte son enfance, Zélikha Dinga déroule, sans s’en rendre compte, un fil conducteur : celui d’un appétit évident pour les desserts. Née et élevée à Paris, elle n’était pas destinée à devenir cuisinière. “” Sa gourmandise était pourtant déjà là et elle garde un souvenir particulier des pâtisseries “” qu’elle admirait longuement en vitrine : “” Dans la librairie de sa mère, elle dévorait aussi tout ce qui avait trait à Charlie et la chocolaterie ” À l’adolescence, elle s’y met plus sérieusement et son sens de l’hospitalité vient avec l’indépendance : “”