Plancoët (Côtes-d’Armor), le 26 août
Surpris, voire dubitatif. “Il arrive qu’on me teste via des questions. Mais une fois que les gens remarquent notre efficacité, ils trouvent généralement plutôt sympa que ce soient des femmes qui s’occupent de leur voiture”, raconte Kim, 23 ans, diplômée et embauchée en septembre 2020. A ses côtés, Emma, 16 ans, apprentie depuis un an. Les plus anxieux? Les propriétaires de voitures de luxe ou de collection, qui regardent leur bijou s’élever sur l’élévateur en criant “stop”, au cas où! Les clientes, elles, seraient plutôt rassurées par cette touche féminine, se disant qu’au moins, on ne profitera pas de leur angoisse du cliquetis bizarre qui n’est en fait pas si grave.