“J’ai décidé de devenir sauveteuse de hérissons parce qu’ils sont vraiment menacés”
Orsay (Essonne), le 10 août
[bébé hérisson] dans notre jardin. Il était orphelin et minuscule, raconte Sara. Etant totalement démunis, on a cherché de l’aide, mais il n’y avait qu’un seul centre de soins pour toute l’Ile-de-France à l’époque. On a donc atterri à l’école vétérinaire de Maisons-Alfort. Comme on posait beaucoup de questions, on nous a proposé de devenir bénévoles. C’est ainsi que j’ai eu un coup de foudre pour ce petit animal.” Durant plusieurs années, Sara consacre tout son temps libre au soin des hérissons et se forme afin d’ouvrir son propre centre, Les P’tits Kipik, qui voit le jour en 2018. Dans une dépendance de sa maison, elle installe des couveuses, une unité
