ission flash, rapport parlementaire, comité ministériel… Depuis plus d’un an, les avis sur l’acceptabilité des zones à faibles émissions (ZFE) se multiplient. Et le bilan n’est pas glorieux. Imposées aux 42 plus grandes agglomérations françaises par la loi d’orientation des mobilités (LOM) 2021, elles doivent bannir à terme les véhicules les plus anciens des centres-villes. Le but ? Lutter contre la pollution de l'air généré par le trafic routier. Mais entre une communication défaillante de la part du gouvernement, des aides à la conversion insuffisantes pour les ménages les plus modestes et la stigmatisation des "méchants" conducteurs de diesels, elles rencontrent une forte opposition. De la part des automobilistes, bien sûr, notamment ceux qui n'ont pas les moyens de changer de voiture, mais aussi des élus locaux, inquiets de devoir mettre en place une réglementation complexe et impopulaire. A la lumière des conclusions du comité qu'il a institué, Christophe Béchu,
RESTRICTIONS DANS LES ZONES À FAIBLES ÉMISSIONS Le coup de grâce ?
Jul 21, 2023
5 minutes
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