vant de l’essayer, je n’en démords pas. Le coup de l’Huracán Sterrato, désolé mais . Quel est l’intérêt de rouler sur des chemins de terre avec une supersportive ? Si c’était pour en vendre à tour de bras, à la rigueur, je pourrais comprendre l’objectif. Mais là, ce n’est même pas le cas. L’Huracán Sterrato est limitée à 1 499 exemplaires et pas un de plus. D’où la question qui tourne en boucle dans mon cerveau : mais pourquoi ? Le dossier de presse n’est pas d’un grand secours, avec des passages dignes d’un ChatGPT en mal de connexion wifi. Je cite : Nous voilà bien avancés. Devant la mine dubitative que j’essaie de dissimuler en vain, Rouven Mohr, le directeur technique de Lamborghini, commence à expliquer la genèse du projet. Ah oui, il faut que je vous donne un détail d’une importance capitale, à propos de ce Rouven Mohr. Cet ingénieur allemand, grand ponte de la technologie à Sant’Agata, est propriétaire d’une Peugeot 205 GTi (évidemment 130) dont il ne se lasse pas. C’est-à-dire que, ce gars, qui a un accès direct et permanent à toutes les Lamborghini d’Italie et accessoirement toutes les Audi RS d’Allemagne, prend toujours son pied en « un-lit’-neuf ». Ce qui veut dire que, primo, c’est quelqu’un de bien et, deuzio, c’est un authentique passionné. Un vrai
Eat my dust !*
Jun 30, 2023
8 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits