Aborder la question de l'universel par notre littérature est une bonne idée. Depuis 1789, notre paysde Houellebecq et nostalgique de Mathias Énard. Dans , il repère des échappées chez Camille de Toledo et sa généralisation de la notion de « traduction » et dans le de « chaos-monde » d’Édouard Glissant, d'une diversité sans centre pour l'ordonner. Avec la critique de notre langue comme pouvoir d'Alexis Jenni et sa désarticulation par Kossi Efoui, la littérature francophone ouvrirait ainsi une alternative à notre universalisme via l'appel à un universel « » se construisant d'en bas dans le respect des différences, donc plus « vrai »…
Vers un universalisme alternatif
May 25, 2023
1 minute
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