Fernandel est comme ses personnages : un homme à l’ancienne. Têtu, braillard, bâfreur, mais aussi protecteur
Avec lui disparaît la France bonhomme des Clochemerle, qui avait le bon goût de ne pas se prendre au sérieux
’est un coup de pied aux fesses qui a lancé sa carrière. Son père n’a pas trouvé mieux pour l’aider à vaincre le trac. Éjecté sur la scène, le petit Fernand s’embronche, comme dirait Giono,