ILS EN AVAIENT DONC ENCORE sous le coude… Bon, OK, on vous l’accorde, les gars n’ont jamais été à court d’énergie et de volonté – de volontarisme? – depuis bientôt trois décennies que dure l’aventure Dropkick Murphys. D’autant qu’en l’occurrence, les choses avaient été planifiées ainsi dès le départ: donner une suite dans un laps de temps réduit à This Machine Still Kills Fascists, sur lequel, le temps d’une dizaine de covers plus que bien senties, ils débroussaillaient sans vergogne les archives de Woody Guthrie, le pionnier du folk américain toujours prompt à dénoncer les inégalités auxquelles était confrontée la classe ouvrière dans les années 1930 à 1950, et influence majeure de Pete Seeger et Bob Dylan successivement. Bis repetita, donc, avec Okemah Rising, le titre de l’album faisant référence à la ville de naissance de Guthrie, dans l’Oklahoma. Selon le même canevas? Pas tout à fait. Le même nombre de chansons, ça, oui.
Bon, OK, on vous l’accorde une nouvelle principal, amusé par une telle perspective. “ assure-t-il.