Robin Williams. C’était l’idole de mon enfance, la promesse d’un bon dimanche. Quand on était petits avec ma sœur, on avait une tradition: le premier dimanche du mois, mes parents préparaient des crêpes et on les mangeait tous ensemble devant Mrs Doubtfire, Jumanji ou Hook… Robin Williams, c’était presque la famille. Quand il est mort, ça m’a rendu super triste. Neil, 30 ans
Non seulement pour l’amour inconditionnel qu’il me porte, mais aussi parce qu’il m’a sauvé la vie l’été dernier. J’ai l’habitude de faire des randos avec Finn – cette fois-ci, on était dans un parc naturel dans les Pyrénées et sur un sentier, l’accident bête: je glisse sur un caillou et j’atterris quelques mètres plus bas. Mes chevilles sont HS – j’apprendrai plus tard que les deux sont cassées – évidemment, j’ai explosé mon téléphone dans la chute et il n’y a aucune trace d’être humain autour de moi. Je vois Finn détaler à triple allure, me laissant là… et revenir au bout de vingt minutes, en aboyant comme un fou. Et il repart… et il
