Que ce soit lors d’un contrôle routier, d’un enlèvement de voiture dans la rue pour une mise en fourrière, d’un dépôt de plainte au poste de police ou à la gendarmerie, ou encore au tribunal pour une contestation de PV, l’automobiliste peut vite se trouver déstabilisé. Car, entre excès de zèle des forces de l’ordre et assertions douteuses des autorités en général, difficile voire impossible pour qui n’est pas féru de loi de faire la part des choses. Voici les “approximations” les plus fréquentes et, en parallèle, ce que dit la loi.
“Vous savez pourquoi on vous arrête ?” ou “Vous reconnaissez l’infraction ?”
Ces questions qui peuvent sembler anodines ne le sont pas tant. En règle générale, il faut ici éviter d’acquiescer trop vite. Ce que conseillent Selon eux, il faut adopter systématiquement la règle des “trois (ne) pas” : ne pas reconnaître l’infraction, ne pas signer le PV et ne pas régler l’amende, précipitamment tout au moins. Cela pourrait vous desservir par la suite).