Sur ces mots s’achève un film qui semble s’accomplir au contraire dans une grande douceur, impressionnant dans sa logique vertueuse et sa nécessité, dirait-on, de pacifier ce qui, au départ, ne l’est pas. Après son très en 2018, sur les rouages complexes de l’adoption, Jeanne Herry a décidé de s’intéresser à un autre « gros » morceau, que le ministère de la Justice définit luimême sur son site internet en ces termes : Mais le tout n’est pas d’illustrer la chose. La difficulté consiste à ne pas être trop littéral ou scolaire. Et de réussir à incarner tout ça.
Je verrai toujours vos visages Quand la justice tend le miroir
Mar 02, 2023
1 minute
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