Paris-Dakar en Concorde Le mur du son!
Une précision préliminaire s’impose avant d’attaquer ce deuxième volet de notre plan de vol: ce qui suit est bien prévu pour l’extension DC Designs sous MSFS. Le module étant simplifié pour séduire le plus vaste public, ne vous étonnez pas de trouver quelques raccourcis ou une grande place laissée aux automatismes propres à ce module. Le pilotage d’un Concorde était une charge de travail intense pour un équipage de trois personnes, et les puristes ne doivent pas oublier qu’un module « grand public » dans un simulateur « grand public » ne peut avoir la prétention de rivaliser avec la formation des pilotes d’élites de cet avion exceptionnel. Néanmoins vous êtes évidemment libres de transposer les principes de base de ce trajet à une autre extension plus réaliste et dans le simulateur de votre choix!
Nous avions laissé notre Concorde juste après le décollage et la rentrée des trains, en montée vers son premier virage. La vitesse est calée à 250 kts sur la casquette mais gérée manuellement jusqu’à la montée à 10000 ft; la check-list indique 4000, mais dans l’espace aérien encombré autour de Paris (et encore, nous sommes censés être en 1980) une altitude plus élevée évitera les risques. C’est encore en manuel qu’on contrôle l’appareil et qu’on le restreint à vouloir grimper très cabré. La phase est délicate, car à 250 kts et à faible altitude on est seulement à 40 kts au-dessus de la vitesse de décrochage. Le est engagé, mais pas encore le pilote auto (PA). Cela pourra déconcerter les amateurs de liners modernes sur lesquels le PA est activé
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