Réfugiés ukrainiens : après l’élan du cœur, la quête d’un second souffle
Après l’accueil en urgence, tenir dans la durée. « J’héberge ma nièce et sa mère Anastasia, pharmacienne. Elle cherche du travail pour pouvoir vivre dans un logement. Pour l’instant elles dorment sur le canapé du salon. » Deux mois après le début de l’offensive russe, le collectif des « Mamans de Paris pour l’Ukraine » reçoit des demandes d’un nouveau type. Beaucoup de Français qui hébergent des réfugiés se préoccupent maintenant de l’avenir.
Combien de familles ont ouvert leurs portes ? Difficile de répondre. Le gouvernement a bien mis en place une plateforme pour recenser les offres, mais beaucoup ne s’y inscrivent pas. Une indication malgré tout : l’État aprécise-t-il, À Nice, par exemple, c’est vrai dans 80 % des cas.
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