Le souffle du boulet
’est la course… On avait tout fait pour que nos pilotes ne se mettent pas de pression, qu’ils se sentent bien, qu’ils se concentrent sur leur épreuve et pas sur celle des autres. Mais c’est comme ça, il y a eu ces chutes. Déjà deux aux essais, puis deux autres en début de course, avec à la fin un carter moteur abîmé qui suintait et risquait de répandre rapidement bien plus d’huile. Il était hors de question que l’on prenne le risque pour nos jeunes. On a donc décidé d’abandonner. C’est dommage, mais c’est l’endurance. Les jeunes techniciens des écoles du Garac et de l’INCM qui font partie de notre projet éducatif étaient en pleurs après notre abandon. Ce sont les anciens de l’équipe qui les ont consolés, et au-delà du fait de leur
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