Françoise, Sylvie, Thierry…, ces prénoms bannis
uand elle est tombée enceinte, Marie, 25 ans, savait ce qu’elle ne voulait surtout pas pour son enfant : un prénom trop employé, comme le sien. « Petite, je connaissais beaucoup trop de Marie, ce qui m’agaçait, raconte la jeune femme. A l’inverse, mon compagnon porte un prénom peu utilisé, Marien, et l’a très bien vécu ! On a choisi de s’orienter vers quelque chose de plus rare. » Plusieurs critères sont entrés en ligne de compte : un prénom court – « pas plus de deux syllabes ! » –, avec lequel il est impossible de faire des jeux de mots, et différent de ceux des enfants avec lesquels Marie, éducatrice spécialisée, travaille. Les parents optent finalement pour Zéline. « Il est très peu donné, et, à l’oreille, on n’entend que deux syllabes », explique Marie, qui ajoute avoir choisi Ambre en second prénom. « On voulait lui en
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