Plus de 15 millions de grands-parents en France. Et presque autant de manières différentes de les nommer. Jadis très connotés socialement – plus de chances de croiser des « Grand-Papa » et « Bonne-Maman » que des « Pépé » et « Mémère » dans les hautes sphères de la société –, ces sobriquets ont tendance à s’affranchir des codes, au diapason d’une relation entre les générations qui se revendique plus libre, et que chacun peut imaginer à sa guise.
Tout sauf Mamie
Plus de 15 millions de « papis » et « mamies », pourrait-on dire, tant ces deux dénominations affectueuses, à défaut d’être délibérément choisies par les intéressés, sont devenues des termes génériques. Ce qu’a pu constater Anne, 65 ans, grand-mère de. » Joseph, son troisième petit-fils, abonde en ce sens, confirmant avec aplomb que «». Même son de cloche chez Florence, 62 ans, dite « Mamours » par ses six petits-enfants. «